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Toute l'actualité de l'histoire présentée par Jean-Christophe Buisson et ses chroniqueurs.

Juste une génération après la Grande Guerre, le monde est à nouveau plongé dans le conflit. Cette nouvelle guerre mondiale va entraîner la mort et la destruction. 690 millions de personnes vont partir au combat, 100 millions perdront la vie : entre 50 à 70 millions de soldats, marins et aviateurs, et plus de 30 millions de civils.
C'est en creusant les chiffres que nous pouvons commencer à comprendre ce qui a causé cette guerre en premier lieu et pourquoi elle a été menée comme elle l’a été. Les chiffres peuvent aider à expliquer la montée d'Adolf Hitler, ses obsessions mais aussi la décision du Japon de bombarder Pearl Harbor, pourquoi Staline a été autorisé à prendre Berlin et pourquoi les Américains ont largué la bombe atomique. Dans cette série, les chiffres racontent la Seconde Guerre mondiale car ce n'est qu'en regardant le conflit à travers ces statistiques que nous pouvons réellement le comprendre.
Lorsque l'Allemagne envahit la Pologne en septembre 1939, personne n'était prêt pour la guerre, les Allemands y compris. Hitler ne s’attendait tout simplement pas à mener une guerre sur deux fronts en 1939. Heureusement pour lui, son état-major s’était préparé à une telle éventualité. L'Allemagne est sur le point d'introduire au monde une toute nouvelle façon de faire la guerre: la Blitzkrieg.

Juste une génération après la Grande Guerre, le monde est à nouveau plongé dans le conflit. Cette nouvelle guerre mondiale va entraîner la mort et la destruction. 690 millions de personnes vont partir au combat, 100 millions perdront la vie : entre 50 à 70 millions de soldats, marins et aviateurs, et plus de 30 millions de civils. C'est en creusant les chiffres que nous pouvons commencer à comprendre ce qui a causé cette guerre en premier lieu et pourquoi elle a été menée comme elle l’a été. Les chiffres peuvent aider à expliquer la montée d'Adolf Hitler, ses obsessions mais aussi la décision du Japon de bombarder Pearl Harbor, pourquoi Staline a été autorisé à prendre Berlin et pourquoi les Américains ont largué la bombe atomique. Dans cette série, les chiffres racontent la Seconde Guerre mondiale car ce n'est qu'en regardant le conflit à travers ces statistiques que nous pouvons réellement le comprendre.
Lorsque Winston Churchill a prononcé son célèbre discours «Nous allons les combattre sur les plages…» le 4 juin 1940, il savait que les chiffres étaient contre lui. Les soldats ont laissé 64 000 véhicules, près de 2 500 canons et plus de 400 000 tonnes de fournitures et de munitions en Belgique après leur retraite de Dunkerque. 520 avions de la Royal Aire Force étaient prêts à arrêter l’invasion de la Grande-Bretagne mais Hitler voulait que la Grande-Bretagne se soumette rapidement, afin de pouvoir tourner son attention vers sa véritable cible: la Russie.

Juste une génération après la Grande Guerre, le monde est à nouveau plongé dans le conflit. Cette nouvelle guerre mondiale va entraîner la mort et la destruction. 690 millions de personnes vont partir au combat, 100 millions perdront la vie : entre 50 à 70 millions de soldats, marins et aviateurs, et plus de 30 millions de civils. C'est en creusant les chiffres que nous pouvons commencer à comprendre ce qui a causé cette guerre en premier lieu et pourquoi elle a été menée comme elle l’a été. Les chiffres peuvent aider à expliquer la montée d'Adolf Hitler, ses obsessions mais aussi la décision du Japon de bombarder Pearl Harbor, pourquoi Staline a été autorisé à prendre Berlin et pourquoi les Américains ont largué la bombe atomique. Dans cette série, les chiffres racontent la Seconde Guerre mondiale car ce n'est qu'en regardant le conflit à travers ces statistiques que nous pouvons réellement le comprendre.
Octobre 1940: le président Franklin D. Roosevelt se présente pour un troisième mandat en tant que président américain et la course est serrée! Conscient que 85% des électeurs sont opposés à l’entrée en guerre , il envoie un message au peuple américain: «Vos garçons ne seront pas envoyés dans des guerres étrangères.» La promesse de Roosevelt lui vaut l’élection, mais elle ne sera pas tenue. Au moment de sa mort en 1945, près de 15 millions d'Américains auront combattu et sont morts sur le sol étranger.

Juste une génération après la Grande Guerre, le monde est à nouveau plongé dans le conflit. Cette nouvelle guerre mondiale va entraîner la mort et la destruction. 690 millions de personnes vont partir au combat, 100 millions perdront la vie : entre 50 à 70 millions de soldats, marins et aviateurs, et plus de 30 millions de civils. C'est en creusant les chiffres que nous pouvons commencer à comprendre ce qui a causé cette guerre en premier lieu et pourquoi elle a été menée comme elle l’a été. Les chiffres peuvent aider à expliquer la montée d'Adolf Hitler, ses obsessions mais aussi la décision du Japon de bombarder Pearl Harbor, pourquoi Staline a été autorisé à prendre Berlin et pourquoi les Américains ont largué la bombe atomique. Dans cette série, les chiffres racontent la Seconde Guerre mondiale car ce n'est qu'en regardant le conflit à travers ces statistiques que nous pouvons réellement le comprendre.

Fin novembre 1941, Fritz Todt, le chef du ministère nazi de l'armement, demande une rencontre avec Adolf Hitler. Son équipe avait calculé que le coût de la poursuite de la guerre serait d'environ 150 milliards de dollars par an. Sans que de grandes quantités de pétrole, de céréales et de ressources brutes russes ne se déversent dans l’économie, le message de Todt était clair : « Cette guerre ne peut plus être gagnée militairement. » Mais la guerre d’Hitler n’a jamais été une simple conquête, c’était une question d’extermination et le seul chiffre qui comptait vraiment était le nombre de Juifs qu’il pouvait tuer. Afin de se battre assez longtemps pour les éradiquer, il devait prendre une ville: Stalingrad.

C'est l'histoire sinueuse du trafic de drogues, héroïne, cocaïne, opium, cannabis et autres drogues de synthèse vus sous l'angle des intérêts financiers, des politiques de prohibition et de la diplomatie secrète, des liens entre États, services spéciaux et mafias, sur tous les continents.
Au XIXe siècle, l'opium se répand à travers toute l'Asie, sous l'impulsion des puissances coloniales. Parallèlement, l'industrie pharmaceutique occidentale découvre des produits miraculeux : morphine, cocaïne, héroïne. L'addiction devient un fléau mondial, et la prohibition va progressivement s'imposer.
L'interdit donne naissance aux premiers réseaux du trafic de drogue, qui ne vont cesser de chercher la protection des Etats. Ces réseaux connaissent un essor sans précédent pendant la guerre froide, quand les services secrets utilisent les drogues comme un instrument politique.
Les Etats-Unis en paient le prix : en 1970, un tiers de leurs soldats au Vietnam est accro à l'héroïne. Un an plus tard, dans un discours historique, le président Richard Nixon lance la guerre contre les drogues.

Alors que la guerre contre les drogues progresse, partout dans le monde, une nouvelle génération de trafiquants émerge à la fin des années 1970, plus puissante que jamais. Ces criminels ne vont pas seulement rechercher l'argent, mais le pouvoir.
Si Pablo Escobar est le plus emblématique de tous, Toto Riina en Sicile, Khun Sa dans le Triangle d'or, Felix Gallardo au Mexique, ont bouleversé le destin de leur pays et fait exploser le trafic de drogue à l'échelle mondiale. Ils défient les Etats, menacent les pouvoirs en place. Il faudra près de 20 ans pour que les Etats s'organisent et mettent au point des stratégies pour faire tomber les barons de la drogue.

Quand ce troisième épisode s'ouvre, nous entrons dans un monde où le trafic s'est morcelé, atomisé sous les coups portés par la police. Les trafiquants d'aujourd'hui ont muté. L'invisibilité est leur arme.
Le trafic s'enracine dans des zones hors de contrôle : des zones de guerre, comme l'Afghanistan ou la Colombie. Les drogues de synthèse, faciles à fabriquer et dissimuler, occupent un rôle crucial dans la transformation du trafic.

Au Mexique, les cartels ont fait entrer le pays entier dans une spirale de violence inqualifiable, et partout, le bilan de la guerre contre les drogues n'est qu'un décompte macabre. La question se pose alors : faut-il légaliser les drogues, transformer le système actuel et peut-être, changer notre regard sur les drogues ?

Dès l'annonce de l'assassinat de John F. Kennedy et jusqu'à son enterrement à Washington D.C., quatre jours plus tard, les chaînes de télévision consacrent l'intégralité de leurs programmes au président défunt. Pendant ces journées de deuil national, elles s'interdisent même de diffuser des publicités. Dans l'histoire de la télévision, c'est la première fois que trois grandes chaînes nationales ABC, CBS et NBC travaillent ensemble et offrent aux millions de téléspectateurs des heures de programmes filmés en direct.

Depuis que le cinéma existe, jamais autant de caméras n'ont filmé un évènement. Pourquoi une telle débauche d'appareils pour tourner les images de deux explosions atomiques au lendemain de la guerre ? Et quel rapport ces essais ont-ils avec le maillot de bain "bikini" apparu au même moment ?

Une série documentaire dont chaque épisode de 26 minutes s'applique à montrer et décrypter les images d'un évènement historique particulier.
En 1940, peu après le commencement de la Seconde Guerre mondiale, Charlie Chaplin débute le tournage de son film "Le Dictateur", une comédie d'une grande lucidité. Qu’est-ce qui pousse Charlie Chaplin à réaliser ce film et à le financer lui-même ?

Drames humains, destins fabuleux, intrigues… tous les grands chapitres de l’histoire présentent des zones d’ombre et des doutes. Éclairer ces aspects inattendus de l’histoire, tel est le défi de L’Ombre d’un doute. Au fil d’investigations, riches en suspense et en rebondissements, la passion contagieuse de Franck Ferrand nous entraîne à la recherche de vérités cachées…
Symbole de puissance et de gloire pour les uns, refuge et havre de paix pour les autres ; le château de Fontainebleau fut aussi un lieu discret où se tramèrent certaines des décisions les plus délicates et parfois les plans les plus secrets de notre histoire. Des circonstances inexpliquées de la mort de Philippe le Bel à l'abdication de Napoléon Bonaparte, Fontainebleau a vu en ces murs certaines scènes les plus cachées de notre histoire.

Dans le Norfolk rural, Diana Spencer a vécu une enfance privilégiée mais isolée, avec des parents distants et un besoin d'amour. Le jeune prince Charles a lui aussi éprouvé le même besoin d'amour et d'affection de la part de sa famille. Lorsque leurs vies se croisent pour la première fois, il y a compréhension mutuelle. À peine un an après le début de leur relation, le monde entier se réjouit de la nouvelle de leurs fiançailles. Cependant, Diana est loin de se douter de la surveillance médiatique dont elle fera l'objet et doit maintenant s'adapter à son nouveau rôle de princesse, en répondant aux attentes d'une nation pleine d'espoir.

La Grande-Bretagne est captivée par la magie du mariage royal. La future mariée, Lady Diana Spencer, a enchanté le public britannique par son charisme et son charme naturel, et le monde voit le prince Charles comme un futur mari engagé. Le mariage fait sensation dans le monde entier et la naissance d'un fils et héritier, William, assure la ligne de succession au trône britannique. Tout semble parfait pour le jeune couple royal. Pourtant, en privé, Diana se sent mise à l'écart par la famille royale, alors qu'elle lutte contre la boulimie et la présence persistante d'une autre femme dans la vie du prince Charles.

Bibracte est restée endormie pendant près de 2000 ans, mais le travail implacable des archéologues ressuscite aujourd'hui une cité gallo-romaine unique et fascinante. Avec des images de synthèse exceptionnelles et l’intervention d’experts, vous allez découvrir une ville antique et prospère, dont les vestiges ne cessent de dévoiler le génie de ses habitants, les Eduens.

Au milieu des années 30, après quinze ans de pouvoir, Mussolini ne se satisfait pas de sa réussite. De plus en plus radical, le « Duce » a une obsession : transformer les Italiens en « hommes nouveaux » et l’Italie en pays guerrier, pour figurer au premier rang des nations. Après avoir combattu la gauche dans les années 1920, puis les Ethiopiens au milieu des années 30, il désigne en 1938 un nouvel ennemi public : les Juifs. Et il s’allie avec Hitler qui, pense-t-il, lui permettra de reconstituer un empire sur les rives de la Méditerranée. Mais l’Italie n’était plus prête à le suivre. La Seconde Guerre mondiale, menée aux côtés de l’Allemagne nazie, fut une longue suite de désillusions pour le « Duce », qui vit tous ses rêves s’effondrer. En juillet 1943, il fut destitué par une partie de ceux qui l’avaient soutenu, et emprisonné sur l’ordre du roi d’Italie. Délivré par Hitler, replié dans le nord du pays, il se contenta d’être la marionnette du Führer jusqu’en avril 1945, à la tête d’un régime fantoche qui multiplia les atrocités. Exécuté par la résistance, son cadavre fut pendu par les pieds à Milan devant la foule, en compagnie de sa maîtresse. Ainsi s’effondrait le mythe Mussolini, l’homme que beaucoup d’Italiens avaient tant aimé.

A l’automne 1922, Benito Mussolini, instituteur devenu journaliste, fraîchement élu député, s’emparait du pouvoir. Son coup d’État légal, qui commença le 24 octobre à Naples, fut un coup de maître. Devant 40 000 militants du parti fasciste réunis en congrès, il adressa un ultimatum à la fragile monarchie parlementaire italienne : « Ou bien on nous donne le pouvoir, ou bien nous descendons sur Rome ! ». Vêtus de chemises noires et munis de gourdins, ses militants prirent la direction de la capitale. La mythique marche sur Rome était lancée, à l’issue de laquelle il installa un régime totalitaire pour deux décennies. Le premier épisode de ce portrait du « Duce » explore la manière dont Mussolini a conquis le pouvoir et l’a consolidé jusqu’à la guerre d’Éthiopie au milieu des années 30. Populiste dans sa manière de s’adresser aux Italiens et dictateur dans sa façon d’exercer le pouvoir, venu de l’extrême gauche et gouvernant à l’extrême droite, Mussolini inventa une nouvelle idéologie : le fascisme. Aidé par les milieux d’affaires qui voulaient en finir avec la gauche, violent tout en voulant plaire, il promit aux Italiens le retour à la grandeur de Rome et rencontra pendant plusieurs années un indéniable succès, autant en Italie qu’à l’étranger. Tout en allant vers sa chute...

Répondre aux thèses complotistes sur le fond, pour permettre de redresser la vérité historique : Tel est l'objectif fondamental de la série C'est un complot ! De la mort de Lady Di à la maladie du SIDA en passant par la possible survie d'Hitler, il s'agit d'examiner objectivement les principales théories du complot, à l'aide d'experts et de documents, en une enquête pleine de suspense et de rebondissements...
Depuis 2003, date à laquelle le vice-président américain Al Gore a lancé la thématique du réchauffement, nombreux sont les climato-sceptiques qui pensent qu’il s’agit d’un complot et que le climat ne se réchauffe aucunement.

60 ans après le décès de Marylin Monroe, une théorie complotiste subsite et anime toujours les débats : le suicide tragique de Marilyn Monroe, le 5 août 1962, a-t-il été mis en scène dans le cadre d'une conspiration impliquant les Kennedy ? A-t-on voulu faire taire celle qui fut peut-être l'amante de John Fitzgerald, tout autant que de Robert Kennedy ? Dans cet épisode de "C'est un Complot !" Christophe Bourseiller revient sur cette tragédie.

Pendant des années, la photographe Dorothea Lange s'est efforcée de prendre des photos subtiles mais émouvantes. Par un jour de bruine, au beau milieu de la Californie, tout va bien. Dorothea prend alors une photo qui aidera des milliers de personnes dans le besoin. Mais que va devenir la femme sur la photo ?

C'est une image qui ne ressemble à rien. Pourtant, elle contient tout. Carl Sagan, visionnaire et pionnier de l'espace, a pris la photo de la Terre la plus éloignée jamais réalisée. À partir de quelques pixels seulement, nous voyons toute l'humanité. Dans un point bleu pâle, les destins de chacun convergent, et Carl Sagan voulait que tout le monde ressente la même trépidation que lui devant cette image.

Un dirigeant peut-il influencer le monde ? Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien controversé, y réfléchit dans ce film. Vingt ans après avoir été contraint de démissionner après l'échec du sommet de Camp David en 2000, Barak, 78 ans, revient, avec une grande clarté, sur sa propre histoire et celle de l'État.

Juin 1967, face aux menaces des états arabes, Israël part en guerre, occupe le Sinaï, le Golan, la Cisjordanie et surtout Jérusalem Est où, pour la première fois depuis 2000 ans des soldats juifs foulent le sol du Mont du Temple. C’est l’esplanade des saintes mosquées de l’Islam construites à l’endroit où se dressait le sanctuaire du judaïsme, détruit par les romains il y a 2000 ans  et dont le mur des Lamentations est le dernier vestige. 

Dans un style inimitable, le journaliste, chroniqueur radio et écrivain Leon Neyfakh revient sur l’un des plus grands scandales politiques des Etats-Unis, l’affaire Iran-Contra.
Dans une tentative désespérée de libérer les otages américains détenus au Liban, le cabinet du président Reagan conclut un accord illégal "armes contre otages" avec un marchand d'armes iranien.

Dans un style inimitable, le journaliste, chroniqueur radio et écrivain Leon Neyfakh revient sur l’un des plus grands scandales politiques des Etats-Unis, l’affaire Iran-Contra.
Deux événements étranges, l'un en Iran et l'autre au Nicaragua, suscitent la frénésie de la presse et du public. Pendant ce temps, en coulisses, l'équipe du président Reagan débat de la meilleure façon de réagir.

Dans un style inimitable, le journaliste, chroniqueur radio et écrivain Leon Neyfakh revient sur l’un des plus grands scandales politiques des Etats-Unis, l’affaire Iran-Contra.
Dans l'épisode final de la saison, alors que le ministère de la Justice lance une enquête sur les accords passés par l'administration Reagan avec l'Iran, un complot est monté pour dissimuler les détails et un homme est choisi pour prendre la place du président... Oliver North.

Dans le sud de la Pologne, à une soixantaine de kilomètres de Cracovie, se dressent les portes du camp d’Auschwitz, le plus vaste complexe concentrationnaire et d’extermination nazi. À l’issue de la guerre, de nombreuses traces de ce camp ont été détruites. Certaines par les nazis lorsqu’ils ont fui devant l’Armée rouge, tandis que d’autres n’ont pas résisté à l’épreuve du temps ou ont été progressivement oubliées. Grâce au travail des historiens et aux récits des survivants, découvrez des documents exceptionnels : dessins des rescapés, témoignages enfouis dans la terre d’Auschwitz, albums photos rarissimes...

En mai 1944, le génocide nazi connaît son apogée. Près de 424 Juifs hongrois sont déportés et exterminés à Auschwitz-Birkenau. Des images subsistent de ce crime : les clichés pris par Bernhard Walter, un soldat de la SS chargé de photographier les déportés à leur arrivée dans le camp, et que les nazis n'ont pas eu le temps de détruire. Ils sont conservés dans un album déposé à l'Institut international pour la mémoire de la Shoah, à Jérusalem. La plupart des personnes photographiées seront assassinées quelques heures après leur arrivée. Irene Weiss, âgée de 89 ans, s'est reconnue sur l'une des photographies. À l'époque, elle avait 13 ans. Elle raconte cette journée dans ce lieu de mort.

NOVELA NEGRA, le Polar Latino est un mélange détonnant d'art, d'Histoire et de crimes. Le film explore la façon dont une nouvelle génération d'auteurs latino-américains a trouvé dans le roman noir la forme idéale pour confronter leur pays : un passé et un présent tourmentés. Du Mexique à l'Argentine, de Cuba au Chili en passant par le Pérou, leurs histoires nous servent de guide pour arpenter le continent et faire connaître au public international l'une des formes de création littéraire les plus dynamiques et inventives.