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Toute l'actualité de l'histoire présentée par Jean-Christophe Buisson et ses chroniqueurs.

Elles avaient beau s'appeler « Femmes- Führer », les femmes du parti nazi étaient tenues à l'écart de toute fonction dirigeante importante. Élevées par Hitler et ses hommes à la tête du mouvement, des femmes comme Gertrud Scholtz-Klink, Magda Goebbels, Jutta Rudiger et Leni Reifenstahl ont été chargées de promouvoir la dévotion à « Kinder, Kuche, Kirche » (« Enfants, cuisine, église »). En tant qu'épouses de dirigeants nazis et responsables d'organisations de filles et de femmes, ces Femmes- Führer ont endoctriné la nouvelle génération de bons petits nazis, en soulignant que la maternité et le dévouement familial étaient les tâches les plus importantes que les femmes pouvaient accomplir dans le Troisième Reich. Lorsque le parti nazi a pris le pouvoir, elles ont été les reines de la propagande, souriant joyeusement aux foules pendant que les dirigeants de leur parti privaient les femmes de leurs droits et les forçaient à retourner à la maison.

Lorsque la guerre a éclaté à la fin des années 1930, les femmes, promises à un avenir de ménagères et de mères, ont joué un rôle beaucoup plus actif dans les atrocités commises par le parti nazi, et l'histoire a eu du mal à l'admettre. Alors qu'on s'est contenté pendant des décennies de les considérer comme des ménagères passives ou, au pire, comme des observatrices inconscientes, un regard moderne révèle le rôle bien plus sinistre que les femmes allemandes ont délibérément joué en tant que complices de l'Holocauste. Elles étaient tout autant les instigatrices de l'Holocauste que les hommes. Qu'il s'agisse des secrétaires qui signaient l'arrêt de mort des Juifs, des gardiens des camps de concentration ou des meurtriers de sang-froid dans les territoires occupés de l'Est, une réévaluation de l'histoire montre que certaines des horreurs les plus barbares de l'Holocauste peuvent être attribuées à des femmes comme Pauline Kneissler, Hermine Braunsteiner, Liselotte Meier et la Hyène d'Auschwitz, Irma Grese. Ce sont les diablesses nazies.

Une série documentaire dont chaque épisode de 26 minutes s'applique à montrer et décrypter les images d'un évènement historique particulier.
C’est surtout au Berghof, le luxueux chalet que possède Hitler dans les Alpes bavaroises, qu’Eva Braun tourne, pendant des années, quantité de films amateur : images familiales, images de ses amis, images d’Hitler et de quelques-uns des plus hauts responsables du régime qu’il convoque pour d’importantes réunions. Eva Braun est-elle libre de filmer ce qu’elle veut et quand elle le veut ?

Le 20 novembre 1945, le procès des hauts responsables du IIIe Reich s'ouvre à Nuremberg, la ville où avait été rendues publiques les lois anti-juives de 1935. Un an plus tard, le tribunal militaire international condamne à mort 12 des accusés.
Tout au long des auditions, il n'a été que très peu question de la Shoah et seul Hans Frank, le gouverneur général de Pologne, reconnaît les persécutions dont les juifs ont été victimes. Pour la France, l'Angleterre et l'Allemagne d'après-guerre, il n'est pas souhaitable d'organiser d'autre procès. Ce sont les autorités américaines qui vont traduire en justice les haut magistrats, les médecins, les diplomates, impliqués dans la Shoah. Mais la dénazification en cours se heurte à la guerre froide naissante et à la reconstruction allemande.

L'ancien spécialiste du régime nazi en matière d'émigration des juifs, Aldolf Eichmann, coordinateur de leur extermination, est repéré en Argentine où il a fuit après la Seconde Guerre mondiale, où il s'est installé confortablement dans la communauté allemande de Buenos Aires.
Il est capturé par le Mossad qui le ramène en Israël pour y être jugé. Son apparition dans la salle d'audience à Jérusalem est un choc : chauve, en costume terne, il a l’air d’un bureaucrate effacé et vieillissant.
C'est cette image que fige la philosophe Hannah Arendt venue couvrir le procès pour le New Yorker. Elle assiste à une semaine d’audience alors que le procès dure un an et ne voit pas la véritable personnalité d’Eichmann, nazi convaincu, hautain, autoritaire et violent.
Face à la cage de verre qui sert de box, les déportés sont appelés à la barre pour témoigner longuement. Pour la première fois, ils peuvent parler de ce qui leur est arrivé. Pour la première fois, ils sont écoutés.

Toute l'actualité de l'histoire présentée par Jean-Christophe Buisson et ses chroniqueurs.

Le Moyen Âge s’étend du Ve siècle au XVe siècle. Tim Sutherland est l’un des meilleurs archéologues britanniques. Aidé d’une équipe de spécialistes équipée des technologies scientifiques les plus pointues, il s’efforce de décrypter la vie médiévale en explorant le royaume des morts, de champs de bataille en cimetières et églises, de la France à la Scandinavie. De l'homme au cercueil de plomb aux flammes de Montségur, bienvenue dans les "Enquêtes du Moyen Âge" !
Quand les restes d'un homme du Moyen-Âge ont été découverts près de la ville de Lewes dans le Sussex de l'Est, la ville ne sachant pas quoi faire, Tim et Malin sont venus enquêter.

Le Moyen Âge s’étend du Ve siècle au XVe siècle. Tim Sutherland est l’un des meilleurs archéologues britanniques. Aidé d’une équipe de spécialistes équipée des technologies scientifiques les plus pointues, il s’efforce de décrypter la vie médiévale en explorant le royaume des morts, de champs de bataille en cimetières et églises, de la France à la Scandinavie. De l'homme au cercueil de plomb aux flammes de Montségur, bienvenue dans les "Enquêtes du Moyen Âge" !

Le Moyen Âge s’étend du Ve siècle au XVe siècle. Tim Sutherland est l’un des meilleurs archéologues britanniques. Aidé d’une équipe de spécialistes équipée des technologies scientifiques les plus pointues, il s’efforce de décrypter la vie médiévale en explorant le royaume des morts, de champs de bataille en cimetières et églises, de la France à la Scandinavie. De l'homme au cercueil de plomb aux flammes de Montségur, bienvenue dans les "Enquêtes du Moyen Âge" !
En 1242, une offensive militaire envoya 10 000 soldats à l'assaut du château de Montségur, tenu par une centaine de combattants et abritant plus de 200 pacifistes. En mars 1244, après 9 mois de siège, les défenseurs du château déposèrent les armes. Mais la suite de l'histoire est tragique. Près de 220 Cathares furent brulés vivants au pied du château pour avoir refusé de renoncer à leur foi. Tim et son équipe se rendent en France pour exhumer des indices archéologiques et essayer de découvrir ce qu'il s'est vraiment passé lors de ces derniers jours de siège.

Toute l'actualité de l'histoire présentée par Jean-Christophe Buisson et ses chroniqueurs.

Cette série documentaire s'intéresse à la désintégration de l'ancienne république fédérative socialiste de Yougoslavie.
Dans ce premier épisode, nous observons comment, sous l'influence de dirigeants, la structure du pays s'est formée au fil des siècles pour abriter cinq nationalités avec trois langues et quatre religions différentes. Au début du 20e siècle, les premiers conflits ethniques commencent. Ce n'est qu'après la Seconde Guerre mondiale que le dictateur Tito réussit à unir une Yougoslavie pacifique. Mais après sa mort, le pays plonge dans le chaos.

Dans ce deuxième épisode, nous sommes en 1990, l'année fatidique des premières élections libres en Yougoslavie depuis la Seconde Guerre mondiale. Lorsque la Slovénie et la Croatie déclarent leur indépendance, la Yougoslavie sombre dans la guerre civile. Il y a des expulsions massives, des viols systématiques et des meurtres brutaux en Croatie et en Bosnie. Pendant longtemps, la communauté internationale ne fait que regarder les bras croisés.

Dans ce dernier épisode, le massacre de Srebrenica est un signal d'alarme pour la communauté internationale, qui décide d'intervenir après quatre ans de guerre. La même année, les belligérants signent un traité de paix.
Mais la guerre éclate à nouveau, cette fois au Kosovo. L'OTAN intervient et met fin aux combats avec une mission controversée. Les Balkans sont encore considérés comme une poudrière. Les guerres des années 90 font reculer la région économiquement et la réconciliation reste difficile aujourd'hui.

Le Japon militariste et impérialiste, présent en Indochine de 1940 à 1945, a joué un rôle déterminant dans les prémices de la guerre d'Indochine. Indochine, une guerre japonaise est un documentaire en deux parties qui raconte comment l’armée japonaise a pris possession de l'Indochine française pour y établir un régime de terreur et agir auprès des mouvements indépendantistes vietnamiens pour que les Français ne puissent jamais reprendre la « perle » de leur Empire.

Le Japon militariste et impérialiste, présent en Indochine de 1940 à 1945, a joué un rôle déterminant dans les prémices de la guerre d'Indochine. Indochine, une guerre japonaise est un documentaire en deux parties qui raconte comment l’armée japonaise a pris possession de l'Indochine française pour y établir un régime de terreur et agir auprès des mouvements indépendantistes vietnamiens pour que les Français ne puissent jamais reprendre la « perle » de leur Empire.

En août 1943, la dernière opératrice de radio clandestine encore en vie envoyait un message désespéré à Londres, réclamant armes et explosifs pour la Résistance française. Elle savait que ses heures étaient comptées. Avec une mère américaine et un père indien, Noor Inayat Khan était un agent britannique peu habituel, qui grandit dans un centre d'apprentissage soufi à Paris, un lieu de paix universel et de méditation.

Découvrez l'incroyable histoire de la course aux armements qui visait à créer les usines d'armement nucléaire de l'Amérique.

Cet épisode s'intéresse à l'histoire de la découverte et de l'exploitation des champs pétrolifères de Bakou, dans le Caucase russe, qui a contraint Staline et Hitler à s'affronter lors de la bataille de Stalingrad.

Nous pourrions penser que tenir un appareil photo devant soi est quelque chose de nouveau. En réalité, le selfie a été inventé il y a près de 180 ans.

Oscar Gustave Rejlander veut devenir le premier artiste photographe du monde. Il décide donc de réaliser la photographie la plus avancée de l'histoire. Un travail énorme qui lui vaudra à la fois applaudissements et moqueries.

Dans un article du plus grand journal suédois, Dagens Nyheter, 18 femmes révèlent qu'elles ont été victimes d'agressions sexuelles de la part d'un homme ayant des liens étroits avec l'Académie suédoise, la prestigieuse institution chargée d'attribuer le prix Nobel de littérature. Dans ce premier épisode, nous rencontrons le journaliste à l'origine de cette histoire et nous nous entretenons avec l'une des femmes qui a décidé de se manifester après avoir gardé le silence pendant 20 ans. Le scandale prend de l'ampleur et finit par dépasser les frontières de la Suède, jusqu'à forcer l'intervention du roi de Suède et menacer le prix Nobel lui-même...

Alors que le scandale concernant Jean-Claude Arnault éclate, un journaliste se demande pourquoi personne n'a réagi lorsqu'il a tenté de le dénoncer, près de 20 ans auparavant, et la journaliste qui a commencé l'enquête sur Arnault se demande si son propre journal la soutiendra.
Il s'agit après tout d'un homme qui a reçu des médailles du roi de Suède et qui est officieusement connu comme le « 19e membre » de l'Académie suédoise.

Véritable légende vivante, Elisabeth II est le monarque britannique au plus long règne. Pour de nombreuses personnes dans le monde, la reine, dans ses tenues colorées et son chapeau assorti, faisait partie intégrante de la Grande-Bretagne, tandis que d'autres considèrent la monarchie britannique comme une relique d'une époque révolue. Elisabeth II : le rôle d'une vie revient sur six moments clés de la vie de la reine, de la fin de la Seconde Guerre mondiale à sa précoce ascension au trône, en passant par les dramatiques années 90, lorsque que Lady Di a quitté la famille royale, jusqu'aux événements les plus récents tels que le Brexit, le "Megxit" et la pandémie de coronavirus. Découvrez ce qui se cachait derrière les murs du palais de Buckingham lorsque Elisabeth II retirait sa couronne et devenait une épouse, une mère et une grand-mère.

Le 16 juillet 1942, à Paris, 12 884 juifs étrangers et français sont arrêtés et conduit au Vélodrome d'Hiver. Suite à un accord passé avec les allemands, ce sont les policiers français qui procèdent aux rafles.
Sur l'insistance de Pierre Laval, le chef du gouvernement de Vichy, les personnes âgées et les enfants sont raflés et déportés aussi. La propagande officielle continue d’affirmer qu’il s’agit de contribuer à la création de colonies agricoles à l'Est.
Mais les rumeurs circulent et les gens commencent à cacher des enfants pour les soustraire aux déportations qui se poursuivront jusqu’en novembre 1944. Au total, 40% des juifs étrangers en France et 24000 juifs français, ont été déportés.

A l'été 1942, les déportations sont systématiques dans toute l’Europe occupée par les nazis. Les convois qui arrivent à Auschwitz-Birkenau viennent de Pologne mais aussi d'Europe de l'Ouest, et du Sud. Hitler ordonne que tous les juifs polonais soient tués avant décembre 1942. Avec la victoire soviétique à Stalingrad, le cours de la guerre penche en faveur des Alliés et les armées du IIIe Reich reculent. Les camps d'extermination doivent être réorganisés pour exterminer plus vite un plus grand nombre de personnes. Devant l'étau qui se resserre sur le régime nazi, de nombreux camps sont évacués dans un chaos et une violence indescriptible.

Le 20 novembre 1945, le procès des hauts responsables du IIIe Reich s'ouvre à Nuremberg, la ville où avait été rendues publiques les lois anti-juives de 1935. Un an plus tard, le tribunal militaire international condamne à mort 12 des accusés.
Tout au long des auditions, il n'a été que très peu question de la Shoah et seul Hans Frank, le gouverneur général de Pologne, reconnaît les persécutions dont les juifs ont été victimes. Pour la France, l'Angleterre et l'Allemagne d'après-guerre, il n'est pas souhaitable d'organiser d'autre procès. Ce sont les autorités américaines qui vont traduire en justice les haut magistrats, les médecins, les diplomates, impliqués dans la Shoah. Mais la dénazification en cours se heurte à la guerre froide naissante et à la reconstruction allemande.

L'ancien spécialiste du régime nazi en matière d'émigration des juifs, Aldolf Eichmann, coordinateur de leur extermination, est repéré en Argentine où il a fuit après la Seconde Guerre mondiale, où il s'est installé confortablement dans la communauté allemande de Buenos Aires.
Il est capturé par le Mossad qui le ramène en Israël pour y être jugé. Son apparition dans la salle d'audience à Jérusalem est un choc : chauve, en costume terne, il a l’air d’un bureaucrate effacé et vieillissant.
C'est cette image que fige la philosophe Hannah Arendt venue couvrir le procès pour le New Yorker. Elle assiste à une semaine d’audience alors que le procès dure un an et ne voit pas la véritable personnalité d’Eichmann, nazi convaincu, hautain, autoritaire et violent.
Face à la cage de verre qui sert de box, les déportés sont appelés à la barre pour témoigner longuement. Pour la première fois, ils peuvent parler de ce qui leur est arrivé. Pour la première fois, ils sont écoutés.

Entre le 20 août et le 22 septembre 1944, quarante cadavres sont repêchés dans la Seine. L’enquête va démontrer que toutes ces victimes sont passées par l’Institut dentaire situé avenue de Choisy, transformé en centre de torture et d’exécution. Protégés par le Parti communiste, les tortionnaires ne seront jamais jugés. Ce film documentaire, inspiré du livre « Ainsi finissent les salauds » de Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre, raconte cette histoire.