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Toute l'actualité de l'histoire présentée par Jean-Christophe Buisson et ses chroniqueurs.

Elles avaient beau s'appeler « Femmes- Führer », les femmes du parti nazi étaient tenues à l'écart de toute fonction dirigeante importante. Élevées par Hitler et ses hommes à la tête du mouvement, des femmes comme Gertrud Scholtz-Klink, Magda Goebbels, Jutta Rudiger et Leni Reifenstahl ont été chargées de promouvoir la dévotion à « Kinder, Kuche, Kirche » (« Enfants, cuisine, église »). En tant qu'épouses de dirigeants nazis et responsables d'organisations de filles et de femmes, ces Femmes- Führer ont endoctriné la nouvelle génération de bons petits nazis, en soulignant que la maternité et le dévouement familial étaient les tâches les plus importantes que les femmes pouvaient accomplir dans le Troisième Reich. Lorsque le parti nazi a pris le pouvoir, elles ont été les reines de la propagande, souriant joyeusement aux foules pendant que les dirigeants de leur parti privaient les femmes de leurs droits et les forçaient à retourner à la maison.

Lorsque la guerre a éclaté à la fin des années 1930, les femmes, promises à un avenir de ménagères et de mères, ont joué un rôle beaucoup plus actif dans les atrocités commises par le parti nazi, et l'histoire a eu du mal à l'admettre. Alors qu'on s'est contenté pendant des décennies de les considérer comme des ménagères passives ou, au pire, comme des observatrices inconscientes, un regard moderne révèle le rôle bien plus sinistre que les femmes allemandes ont délibérément joué en tant que complices de l'Holocauste. Elles étaient tout autant les instigatrices de l'Holocauste que les hommes. Qu'il s'agisse des secrétaires qui signaient l'arrêt de mort des Juifs, des gardiens des camps de concentration ou des meurtriers de sang-froid dans les territoires occupés de l'Est, une réévaluation de l'histoire montre que certaines des horreurs les plus barbares de l'Holocauste peuvent être attribuées à des femmes comme Pauline Kneissler, Hermine Braunsteiner, Liselotte Meier et la Hyène d'Auschwitz, Irma Grese. Ce sont les diablesses nazies.

Cet épisode traite des servantes d'Hitler et du rôle des femmes dans tous les aspects non seulement du parti nazi, mais aussi de toute la vie politique d'Hitler. Elles n'étaient pas seulement les femmes aryennes idéales du mouvement, ou les secrétaires et les administratrices qui ont facilité l'Holocauste, elles étaient là dès le début, agissant comme le catalyseur de tout ce qu'Hitler accomplirait plus tard dans sa vie. Des femmes riches et conservatrices, des mondaines comme Helene Bechstein et Winifred Wagner, se sentaient menacées par les mouvements progressistes de la République de Weimar. Espérant ramener l'Allemagne à l'époque glorieuse des hommes masculins et des femmes casanières, elles ont soutenu en masse le parti nazi, finançant leurs ambitions politiques tout en apprenant à Adolf Hitler comment passer du statut d'agitateur à celui de politicien avisé, en l'accompagnant parmi les riches donateurs qui allaient propulser son abominable parti dans les stratosphères du pouvoir.

Adolf Hitler a grandi dans un foyer tumultueux, sous l'autorité d'un père violent et d'une mère surprotectrice. De cette soupe d'émotions est né un homme abîmé, enclin aux perversions sexuelles et à une vision déformée des femmes qui l'entourent. Une obsession de deux ans avec une jeune fille à qui il n'osait jamais parler définira ses relations amoureuses plus tard dans sa vie - l'une des femmes secrètes vouées au désastre. Encouragé à rester célibataire pour que les femmes puissent s'extasier devant lui et qu'il puisse déclarer qu'il était « marié à l'Allemagne », Hitler ne s'est jamais marié publiquement, entretenant plutôt des obsessions illicites et des liaisons secrètes avec sa demi-nièce Geli Raubal, la star de cinéma Renata Mueller et la femme qui s'est suicidée dans le bunker avec lui, Eva Braun. Toutes trois étaient condamnées à mourir, certaines dans des circonstances mystérieuses, laissant derrière eux le Führer pervers et troublé, Adolf Hitler.

Une série documentaire dont chaque épisode de 26 minutes s'applique à montrer et décrypter les images d'un évènement historique particulier.
C’est surtout au Berghof, le luxueux chalet que possède Hitler dans les Alpes bavaroises, qu’Eva Braun tourne, pendant des années, quantité de films amateur : images familiales, images de ses amis, images d’Hitler et de quelques-uns des plus hauts responsables du régime qu’il convoque pour d’importantes réunions. Eva Braun est-elle libre de filmer ce qu’elle veut et quand elle le veut ?

De la domination coloniale française jusqu'à nos jours, cette série documentaire retrace les déchirements d'une nation qui a vécu comme peu d'autres les utopies et les conflits de la seconde moitié du XXe siècle.
En 1963, le président sud-vietnamien Ngo Dinh Diem est renversé par un coup d'état militaire et assassiné. Peu après, John Fitzgerald Kennedy est également tué. Son successeur, Lyndon B. Johnson, décide d'envoyer des troupes américaines combattre au Vietnam. Le conflit s'intensifie, devenant une apocalypse de violence retransmise quotidiennement à la télévision dans le monde entier. Cette escalade marque un tournant majeur, transformant un conflit local en une crise internationale. L'implication directe des États-Unis et la médiatisation sans précédent ont profondément marqué l'opinion publique, façonnant la perception du conflit et son impact sur la société.

De la domination coloniale française jusqu'à nos jours, cette série documentaire retrace les déchirements d'une nation qui a vécu comme peu d'autres les utopies et les conflits de la seconde moitié du XXe siècle.
En 1973, les troupes américaines se retirent du conflit, laissant les deux Vietnam s'affronter. La chute de Saigon en 1975 marque la victoire du camp communiste. Tandis que certains Sud-Vietnamiens fuient vers l'Occident, d'autres voient se réaliser le rêve d'un Vietnam uni, pacifique et socialiste. Cependant, l'après-guerre présente de nouveaux défis pour la société vietnamienne. La réunification du pays s'accompagne de changements politiques et sociaux majeurs, impactant profondément la vie quotidienne des Vietnamiens. Cet épisode explore les conséquences de cette période charnière et les transformations qui ont façonné le Vietnam moderne.

De la domination coloniale française jusqu'à nos jours, cette série documentaire retrace les déchirements d'une nation qui a vécu comme peu d'autres les utopies et les conflits de la seconde moitié du XXe siècle. Doté d'archives exceptionnelles, un voyage au bout de l'enfer raconté pour la première fois par celles et ceux qui l'ont vécu : les Vietnamiens.
À l'époque coloniale, le Vietnam n'était qu'une partie de l'Indochine, un paradis exotique et une colonie lucrative pour l'empire français. En 1945, profitant du chaos de la Seconde Guerre mondiale, le leader communiste Ho Chi Minh déclenche une révolution et proclame l'indépendance. La France, déterminée à préserver ses droits coloniaux, riposte avec son armée. Ce conflit inspire de nombreuses personnes à travers le monde à lutter pour la liberté, mais divise profondément la société vietnamienne pour les décennies à venir. La lutte pour l'indépendance du Vietnam devient un symbole de la résistance contre le colonialisme et marque l'histoire.

De la domination coloniale française jusqu'à nos jours, cette série documentaire retrace les déchirements d'une nation qui a vécu comme peu d'autres les utopies et les conflits de la seconde moitié du XXe siècle.
Après la bataille de Dien Bien Phu, l'ère coloniale française prend fin au Vietnam. Les Vietnamiens paient cependant un lourd tribut pour leur indépendance. Lors des négociations de paix, leur nation est divisée en deux : le Nord sera dirigé par les communistes, tandis que le Sud deviendra un allié des États-Unis. Cette partition entraîne un exode massif de citoyens et devient la source d'un nouveau conflit entre les deux Vietnam, sur fond de Guerre froide. La division du pays, conséquence directe des accords de paix, sème les graines d'un affrontement futur, reflétant les tensions géopolitiques mondiales de l'époque et façonnant l'avenir du Vietnam.

Drames humains, destins fabuleux, intrigues… tous les grands chapitres de l’histoire présentent des zones d’ombre et des doutes. Éclairer ces aspects inattendus de l’histoire, tel est le défi de L’Ombre d’un doute.
Nous allons partir à la découverte de l’histoire extraordinaire d’une ville et d’une région, synonyme dans le monde entier, d’excellence et de tradition. Nous parcourrons ces paysages baignés par la Gironde et forgés par le génie des hommes, ce Médocs où partout l’âme du vin affleure. Nous découvrirons ses châteaux et ses chaix et nous rencontrerons ces hommes détenteurs de la très riche mémoire d’un pays d’exception.

Le changement climatique et la pollution seraient-ils responsables du déclin de l'empire maya survenu autour de l'an 1000 ?
La civilisation maya qui a duré 20 siècles a connu un âge d'or entre 250 et 950 de notre ère. Dans un environnement hostile, au cœur de la jungle mexicaine et guatémaltèque, les Mayas ont inventé un calendrier solaire complexe, bâti des pyramides monumentales et mis en place un ingénieux système hydraulique. Ils sont aussi les précurseurs de la permaculture.
Pourtant, les cités mayas sont abandonnées en pleine apogée.
Grâce au travail d'archéologues, de paléoclimatologues mexicains, américains et français ainsi que des outils déployés par la NASA, les scientifiques savent désormais que la véritable cause du déclin maya est une grande vague de sècheresse. Une découverte qui pose question, dans nos sociétés actuelles.

Mystérieuse et fascinante, la civilisation maya a laissé derrière elle des énigmes qui captivent le monde, encore aujourd'hui. Au cœur de cette intrigue, se trouve la péninsule du Yucatan au sud du Mexique.
Sur ce territoire, trois villes emblématiques ont joué un rôle clé dans le déclin de l'époque maya : Coba, un centre culturel et religieux jusqu'à l'invasion des Espagnols ; Mayapan, la dernière grande capitale maya ; Tulum, célèbre pour être la dernière ville habitée, abandonnée seulement au 16ème siècle.
Grâce à des technologies de pointe et des approches novatrices en archéologie, des chercheurs du monde entier font des avancées significatives dans la compréhension de cette civilisation énigmatique.
Embarquez pour un voyage extraordinaire, de la côte caraïbe aux profondeurs de la jungle du Yucatan, à la redécouverte des mystères enfouis des dernières cités mayas, plus d'un millénaire après leur apogée !

L'amélioration de nos connaissances en sciences de la terre permet aujourd'hui de réinterpréter certains des plus grands mythes et mystères de l'histoire humaine. L'Atlantide a-t-elle une réalité géologique ?

De tous les sites archéologiques égyptiens, le Nil s’avère être le plus riche de tous. Berceau de la civilisation égyptienne, unique voie de navigation reliant les royaumes de la Haute et de la Basse-Egypte, ce fleuve symbolisait le coeur du royaume des pharaons.
De récentes fouilles de grande envergure ont permis le repérage et l’extraction de trésors cachés dans les profondeurs du Nil. On découvre ainsi entre autres les vestiges d’un temple et d’un port antiques.
On comprend également grâce aux technologies les plus modernes comment les hommes parvenaient à tailler, avec des moyens très rudimentaires, des obélisques pesant des centaines de tonnes et comment ils parvenaient à les transporter sur le fleuve sur des centaines de kilomètres.

Une secte secrète nommée "Les Illuminati" gouverne-t-elle le monde depuis le XVIIIe siècle ? La plupart de nos dirigeants appartiennent-ils à cet ordre, qui tente, en coulisse, de mettre en place un "Nouvel Ordre mondial" ?

Répondre aux thèses complotistes sur le fond, pour permettre de redresser la vérité historique : Tel est l'objectif fondamental de la série C'est un complot ! De la mort de Lady Di à la maladie du SIDA en passant par la possible survie d'Hitler, il s'agit d'examiner objectivement les principales théories du complot, à l'aide d'experts et de documents, en une enquête pleine de suspense et de rebondissements...
Dans cet épisode, intéressons nous à un grand fantasme...
De 1917 à la chute du mur de Berlin en 1989, s'est développé un anticommunisme primaire, qui a souvent tourné au complotisme. Certaines personnes estiment d'ailleurs que les communistes ont réussi à prendre le pouvoir secrètement à Paris, Londres ou Washington. Dans cet épisode de C'est un complot ! Christophe Bourseiller revient sur cette théorie.