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Cette série documentaire inédite s’intéresse à un sujet rarement traité à la télévision : l’histoire méconnue de l’industrie de l’armement. Une guerre ne se gagne pas sans balles, acier, avions ou encore nourriture, et cette industrie a été plus que déterminante en 1939-1945. Des grandes industries automobiles aux industries de la Grande Guerre, découvrez comment la guerre a été fabriquée ! Dans cet épisode, nous découvrons l'histoire de Skoda.

Cette série documentaire inédite s’intéresse à un sujet rarement traité à la télévision : l’histoire méconnue de l’industrie de l’armement. Une guerre ne se gagne pas sans balles, acier, avions ou encore nourriture, et cette industrie a été plus que déterminante en 1939-1945. Des grandes industries automobiles aux industries de la Grande Guerre, découvrez comment la guerre a été fabriquée ! Dans cet épisode, nous découvrons l'histoire d'Opel.

Découvrez comment Fiat n'a pas seulement fabriqué des voitures, mais aussi des trains, des avions, etc. Plus que ça, telle une faiseuse de roi des temps modernes, l'entreprise était également derrière le succès ou l'échec des gouvernements.

Nous sommes en Allemagne en avril 1945, à quelques semaines de la fin de la guerre en Europe. Sur le front ouest, l'avancée des troupes Alliées s'accompagne de la découverte et de la libération de très nombreux camps de prisonniers de guerre, de camps de travail et de camps de concentration. Les Soviétiques ont déjà découvert, en Pologne, les camps d'extermination de Majdanek en juillet 1944 et d'Auschwitz en janvier 1945. Mais ces événements ont eu peu de retentissement dans les pays alliés. Ce n'est qu'à partir de l'ouverture par les Américains des camps comme Ohrdruf, Buchenwald et Dachau, en Allemagne, que le monde va découvrir l'ampleur de l'horreur nazie. Et l'image va jouer un rôle majeur. En l'espace de quelques semaines, quantité de photographies et de films sont réalisés dans les camps. Pourquoi ? Dans quel but ? Et quelle réalité ces images ont-elles donné à voir ?

Drancy : ville de la Seine Saint-Denis, située aux portes de Paris, à dix kilomètres à peine de la Gare de l’Est. En 1942, à trois quarts d’heure en bicyclette de la place de la République. Aujourd’hui à dix minutes à peine en transports en commun. Pour toujours, symbole de la déportation des Juifs de France. La mémoire que ce lieu véhicule dérange encore. De 1942 à 1944, près de la totalité des 76 000 Juifs déportés de France passèrent par Drancy.
Certains n’y séjournèrent qu’un jour ou deux, avant de monter dans le train qui les emmenait à la mort, d’autres, la majeure partie, y restèrent quelques semaines voire quelques mois. Mais pour la quasi-totalité, l’échéance fut identique : la déportation vers les camps de Pologne pour y être assassinés. Comment ce grand ensemble moderniste, fleuron du logement social des années 30, est-il devenu le lieu d’internement et de transit des Juifs en France pendant la guerre ? Comment a-t-il pu fonctionner ? Quelle y fut la vie de ses internés ? Quelles responsabilités y endossèrent l’État français et l’occupant nazi ? Commandé par les Allemands et administré par les Français, le camp de Drancy, miroir des relations ambiguës entre l’Allemagne et le régime de Vichy, est un concentré privilégié des politiques qui s’y sont succédées : alternances de zèle et de blocage ont eu raison du destin individuel et familial des Juifs internés à Drancy.
Intimement mêlé au présent, ce film historique dépasse le cadre commémoratif et permet, avec le concours de plusieurs historiens, de confronter cet épisode tragique à la mémoire collective pour comprendre, encore et toujours, ce que furent les régimes de haine.

Le 8 mai 1945, l'Allemagne nazie capitule. Après plus de cinq années de guerre qui auront fait plus de 42 millions de morts, dont 6 millions de Juifs, le monde fête la victoire des forces alliées sur le IIIème Reich. Des millions de réfugiés que le conflit avait déplacés, exilés, déportés sont jetés sur des routes de campagne dévastées. Jamais une fin de guerre n'aura été aussi violente et indécise. Six mois auparavant, rien n'est encore joué. En décembre 1944, Adolf Hitler lance sa dernière grande offensive dans les Ardennes, infligeant de lourdes pertes aux troupes anglo-américaines. Sur le front Est, face à l'avancée de l'Armée Rouge, l'état-major nazi oppose une résistance acharnée et entraine le peuple allemand dans sa folie destructrice. Raconté par Richard Berry, Délivrance retrace, grâce à des images d'archives inédites et re-colorisées, les derniers mois du conflit. Pour témoigner de la fureur des derniers combats, de l'effroi face à l'ampleur des atrocités nazies, et de l'euphorie de la victoire finale, ce film donne la parole à des hommes et des femmes qui ont assisté à ces événements. Ils nous racontent leur histoire : travailleurs du STO perdus dans Berlin sous les bombes, brancardières russes s'interrogeant sur l'absurdité de la guerre, soldats américains découvrant l'horreur des camps d'extermination, fillette allemande assistant à la chute du Reich ou encore prisonniers de guerre de retour en France. C'est à partir de tous ces témoignages dans une Europe en ruines que Délivrance bâtit un récit à hauteur d'homme sur ces quelques mois qui changèrent le monde.

Le crime est aussi vieux que l’humanité elle-même. Pourtant, certains assassinats commis il y a bien longtemps continuent de nous fasciner, souvent parce que leurs auteurs n'ont jamais été identifiés. Dans cette série documentaire, à l'aide de technologies médico-légales modernes et de méthodes archéologiques expérimentales, une équipe internationale d’experts–profileurs, spécialistes en armement, généticiens et historiens s’emploie à résoudre des affaires criminelles non résolues.
Dans ce dernier épisode, l'équipe enquête sur les crimes commis par vengeance comme la conspiration contre Philippe II, roi de Macédoine, dans laquelle son fils Alexandre le Grand était apparemment impliqué.

Pour financer la colonisation en Indochine, l’État français s’est appuyé durant 50 ans sur un pilier puissant : la Régie de l’opium. Ce film retrace l’histoire sulfureuse de son monopole sur la fabrication et la vente de cet or noir pourtant prohibé dans l’Hexagone.

Jean-Christophe Buisson reçoit Ken Follett pour « Notre-Dame » (Robert Laffont) et Christophe Dickès pour « Pour l’Église » (Perrin). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

Un regard inédit sur l’histoire de la sorcière à travers les siècles qui nous révèle comment ce personnage mythique, historique, artistique et même politique, fait un retour fulgurant dans le champ du féminisme contemporain.
Émergeant à la jonction du Moyen Âge et de la Renaissance, le mythe de la sorcière se situe au croisement de réalités historiques et de fantasmes d’une époque ébranlée et angoissée. Les sorcières étaient considérées comme des femmes indépendantes et puissantes qui défiaient les normes patriarcales de leur époque. Guérisseuses, sage-femmes, vieilles femmes, marginales, prostituées… Toute femme qui défiait les attentes patriarcales devenait une cible.
En 200 ans, c’est ainsi près de 100 000 femmes qui seront accusées, condamnées et brûlées par les autorités religieuses et civiles.
Ce féminicide de l’Histoire démontre comment la peur de l'inconnu, la misogynie, la rivalité sociale, la rumeur ont pu conduire à de telles atrocités.
Le documentaire montre également l’évolution de l’image de la sorcière, du dernier procès en 1782 jusqu’à aujourd’hui, car la mise à mort des femmes sous prétexte de sorcellerie est encore une réalité de nos sociétés.
La lutte féministe contemporaine s'inspire de cette icône, pour remettre en question les structures de pouvoir patriarcales et les normes sociales oppressives.
Sorcières, le premier féminicide de l'Histoire nous plonge ainsi profondément dans la nature complexe de la chasse aux sorcières. Mais plus encore, il propose un regard sur notre époque car l’histoire des sorcières d’hier fait écho aux courants qui traversent la société aujourd’hui.

Et si les hommes n’avaient pas été les seuls à chasser pendant l’âge de pierre ? De récentes découvertes archéologiques réalisées dans le monde entier ont bouleversé les idées reçues sur la répartition des rôles entre les hommes et les femmes dans l'histoire. Elles ont révélé, entre autres, l'existence de femmes vikings ou encore l'absence de hiérarchie liée au genre avant la révolution agricole du néolithique.

Découvrez l’histoire de Jules César de ses jeunes années à son assassinat dans cette série documentaire événement. Le premier épisode retrace l'ascension ambitieuse de César, qui cherche à devenir consul, la plus haute fonction politique de Rome. Pour ce faire, il forge des alliances dangereuses et contourne les règles de la République, en courtisant le vote populaire, en exploitant les divisions et en ayant recours à la corruption et à l'intimidation pour parvenir à ses fins. Mais son approche non conformiste de la politique et son mépris des coutumes établies le mettent en porte-à-faux avec l'élite conservatrice du Sénat. Et un homme, Caton d'Utique, est bien décidé à le faire tomber.

Découvrez l’histoire de Jules César de ses jeunes années à son assassinat dans cette série documentaire événement. Dans ce deuxième épisode, César a conclu une alliance difficile avec les deux autres hommes les plus puissants de la République, Pompée et Crassus. À eux deux, ils dominent le système politique et César semble intouchable. Il quitte Rome pour devenir gouverneur de la Gaule - la France actuelle - afin de conquérir ce peuple et gagner encore plus de pouvoir et de prestige. Mais des événements indépendants de sa volonté menacent de faire échouer ses plans et de l'isoler. Acculé, il prend une décision qui changera à jamais le cours de la République et de l'histoire occidentale.

Découvrez l’histoire de Jules César de ses jeunes années à son assassinat dans cette série documentaire événement. Alors que César prend le contrôle de Rome et consolide son emprise sur la République, il s'octroie des pouvoirs de plus en plus importants. Nommé dictateur pour un an afin de rétablir la paix, il passe bientôt à dix ans... puis dictateur à vie. César est devenu intouchable et Rome est désormais - au sens moderne du terme - une dictature. L'ambition de César s'est transformée en tyrannie. Quelques sénateurs, dont certains parmi ses plus proches alliés, complotent pour mettre fin à son règne de la seule manière possible : en lui ôtant la vie. Mais cela suffira-t-il à sauver la République ?

Sous le règne de Louis XV les espions Français pullulent dans toutes les cours d’Europe, sauf dans celle de Russie que les services secrets ne parviennent pas à « percer ». Le prince de Conti suggère à Louis XV d’envoyer un espion féminin en Russie. C’est en fait un homme, déguisé en femme, qui se présente à Saint-Petersbourg. Charles-Geneviève d’Eon de Beaumont devient alors le légendaire chevalier d’Eon. Comment un homme peut-il aussi bien se travestir en femme ? En France, les rumeurs vont bon train sur son identité sexuelle.

Dans la mémoire collective, Jean-Baptiste Poquelin, dit « Molière » est le plus grand auteur de théâtre français. Ses pièces sont aujourd’hui encore étudiées dans toutes les écoles. Mais sont-elles vraiment ses pièces ? En 1919, Pierre Louÿs a provoqué un énorme scandale en avançant que l’auteur de ces chefs d’œuvre serait en réalité… Corneille !
La plume de Corneille, le plus grand tragédien de son temps, se cache-t-elle derrière les comédies les plus fameuses du théâtre français ?

Jean-Christophe Buisson reçoit Georges Ayache pour « 1960. La première élection moderne de lʼAmérique » (Perrin) et Agnès Delahaye pour « Aventuriers, pèlerins, puritains » (Passés composés). Nicolas Chaudun chronique l’exposition « Jackson Pollock, les premières années » au Musée Picasso Paris.

Dans la France du XVIIème siècle, sous le règne de Louis XIV, un homme, au visage recouvert d’un masque de fer, est enfermé à vie dans les prisons royales. C’est l’un des prisonniers les plus célèbres au monde. Son histoire fascine. Aujourd’hui, les historiens s’accordent sur un nom : Eustache Daugers. Mais qui est vraiment cet homme ? Un simple valet ? Ou un demi-frère de Louis XIV ? Et si l’identité de cet homme remettait en cause la royauté, l’histoire d’un Roi et de sa légitimité à régner ?

Le 1er septembre 1715, après un règne de 72 ans, Louis XIV meurt dans sa chambre du château de Versailles, emporté par une gangrène fulgurante à l'aube de ses 77 ans. Son décès provoque une crise de succession qui affectera l'Europe entière. Avec la disparition du Roi Soleil, s'achève le Grand Siècle, et s'annonce, en filigrane, le Siècle des Lumières. Louis XIV va affronter sa mort en public, devant la cour, avec le même panache que celui qu'il a affiché pendant tout son règne.

Après la naissance de 10 enfants en 10 ans, le jeune roi s’éloigne de son épouse et s’étourdit dans les bras de ses maitresses. Mais sa frivolité est interrompue par la mort de l’Empereur du saint empire romain germanique. Personne en Europe n’accepte que la fille ainée de l’empereur, Marie-Thérèse d’Autriche et son époux François-Etienne de Lorraine, héritent de ses couronnes. Bruno Solo raconte avec passion comment la Prusse, la France, la Bavière et l’Angleterre entrent dans la guerre dite de « succession d’Autriche ».

Amour Gloire et Beauté ! Voilà le cocktail détonnant de cet épisode raconté par Bruno Solo. Au lendemain de la guerre de succession d’Autriche, Louis XV est devenu le « mal aimé ». Le roi de France se réfugie alors dans les bras de la ravissante Jeanne Antoinette Poisson titrée Marquise de Pompadour. Esthète, elle fait rayonner la France et son roi par les arts. Elle défend les philosophes du siècle des Lumières puis, entre dans « le secret du roi ». Car Louis XV a mis en place un réseau d’espions chargé de mener pour lui une diplomatie parallèle. Un outil qui va se révéler déterminant dans l’immense conflit qui s’annonce.

Sur le plus grand site de fouilles archéologiques de France, une équipe de chercheurs fait actuellement ressurgir la puissance oubliée de la ville de Narbonne à l’époque romaine. Profitant d’une découverte exceptionnelle, ce film va reconstituer grâce à l’infographie et l’aide d’historiens et d’archéologues passionnés, l’histoire extraordinaire de cette métropole antique qui a rayonné plus de trois siècles sur le monde méditerranéen.

Les "histoires d'une nation", ce sont celles de toutes ces générations venues faire leur vie dans un nouveau pays, la France. Elles nous racontent 150 ans de l'histoire de France, 150 ans qui ont conduit à ce qu'aujourd'hui un quart de la population française trouve ses racines à l'extérieur du territoire.
De Michel Drucker à Camélia Jordana, de Ramzy à Estelle Mossely, enfants, petits-enfants, arrière-petits enfants d'Italiens, de Polonais, d'Arméniens, de Russes, d'Algériens, de Marocains, de Cambodgiens ou de Chinois, connus ou pas, ils nous racontent leurs histoires familiales.
Ces histoires croisent le récit national qu'elles éclairent à la lumière de la manière dont la république les a accueilli et a redéfini les lois sur la nationalité.
Descendants d'Auvergnats, de Bretons, d'Italiens ou de Polonais, dans ce premier épisode, ils nous racontent le parcours de leurs familles arrivant dans une France qui vit sa première révolution industrielle. Comment leurs aïeux immigrés de l’intérieur et de l’extérieur ont bâti cette nouvelle France, encore coloniale ? Comment celle-ci s'est reconstruite après la première guerre mondiale grâce à cette main d'œuvre venue de l'étranger ?

Les "histoires d'une nation", ce sont celles de toutes ces générations venues faire leur vie dans un nouveau pays, la France. Elles nous racontent 150 ans de l'histoire de France, 150 ans qui ont conduit à ce qu'aujourd'hui un quart de la population française trouve ses racines à l'extérieur du territoire.
De Michel Drucker à Camélia Jordana, de Ramzy à Estelle Mossely, enfants, petits-enfants, arrière-petits enfants d'Italiens, de Polonais, d'Arméniens, de Russes, d'Algériens, de Marocains, de Cambodgiens ou de Chinois, connus ou pas, ils nous racontent leurs histoires familiales.
Ces histoires croisent le récit national qu'elles éclairent à la lumière de la manière dont la république les a accueilli et a redéfini les lois sur la nationalité.
Dans cet épisode, nous revenons sur nos héros dans la tourmente, ces immigrés qui sont venus trouver refuge en France à la faveur de la montée des périls dans toute l'Europe, au tournant des années 30 et de la crise économique qui a secoué le monde alors. Accueillis dans une France qui veut augmenter sa population, et faire de tout arrivant un français, ils vont vivre la pire période de rejet des étrangers de notre histoire mais qui sont montrés du doigts quand la crise éclate, quand la production chute et le chômage augmente, qu'on reconduit les travailleurs étrangers à la frontière, et cherche à restreindre l'accès aux professions libérales. C'est cette histoire que nous racontent leurs enfants et petits-enfants.

Les "histoires d'une nation", ce sont celles de toutes ces générations venues faire leur vie dans un nouveau pays, la France. Elles nous racontent 150 ans de l'histoire de France, 150 ans qui ont conduit à ce qu'aujourd'hui un quart de la population française trouve ses racines à l'extérieur du territoire.
De Michel Drucker à Camélia Jordana, de Ramzy à Estelle Mossely, enfants, petits-enfants, arrière-petits enfants d'Italiens, de Polonais, d'Arméniens, de Russes, d'Algériens, de Marocains, de Cambodgiens ou de Chinois, connus ou pas, ils nous racontent leurs histoires familiales.
Ces histoires croisent le récit national qu'elles éclairent à la lumière de la manière dont la république les a accueilli et a redéfini les lois sur la nationalité.
Dans cet épisode, ce sont les pères que nous découvrons, ceux qui font entrer la France dans la modernité à la faveur du boom économique des trente glorieuses, ces nouveaux arrivants qui permettent à ceux arrivés avant eux de grimper un peu dans l’échelle sociale. Ce sont leurs enfants, petits-enfants qui racontent cette page de l’histoire française, de la déchirure algérienne à l’espoir de l’ascenseur social par l’école, de l’acharnement au travail aux prises de paroles d’après 1968, de l’antiracisme aux ratonnades, du rock aux grandes vacances, ce moment où le retour au pays n’est plus qu’un passage, avant de revenir là où les nouvelles générations vont faire leurs vies.

Les "histoires d'une nation", ce sont celles de toutes ces générations venues faire leur vie dans un nouveau pays, la France. Elles nous racontent 150 ans de l'histoire de France, 150 ans qui ont conduit à ce qu'aujourd'hui un quart de la population française trouve ses racines à l'extérieur du territoire.
De Michel Drucker à Camélia Jordana, de Ramzy à Estelle Mossely, enfants, petits-enfants, arrière-petits enfants d'Italiens, de Polonais, d'Arméniens, de Russes, d'Algériens, de Marocains, de Cambodgiens ou de Chinois, connus ou pas, ils nous racontent leurs histoires familiales.
Ces histoires croisent le récit national qu'elles éclairent à la lumière de la manière dont la république les a accueilli et a redéfini les lois sur la nationalité.
100 ans après la naissance de la troisième république, le français type a de multiples visages, de multiples origines, surtout lorsqu’il gagne la Coupe du monde de football. Crise, mondialisation, tensions ethniques, le dernier épisode de la série pourrait être bien sombre et pourtant, les générations d’après 1974, ceux qui n’ont connu que la crise, racontent aussi une autre histoire, où les récits de vie des parents, des origines, se mêlent à une volonté d’être citoyen ici.