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Toute l'actualité de l'histoire présentée par Jean-Christophe Buisson et ses chroniqueurs.

Hitler décide de prendre un risque et d'envahir l'Union soviétique. La Finlande entre en guerre aux côtés de l'Allemagne. L'offensive s'arrête rapidement et les Allemands sont en difficulté. Les Alliés font pression sur la Finlande. La guerre s'étend à l'océan Arctique.

Les commandos alliés effectuent des raids en Norvège et établissent des bases d'espionnage. Hitler s'inquiète et consacre davantage de ressources au nord. La guerre météorologique et la guerre des convois s'intensifient. Des tensions apparaissent au sein du commandement militaire dans le nord.

Les Alliés augmentent la pression dans le nord avec une importante opération de leurre. Hitler poursuit ses projets de construction massive et entend conserver le nickel de Petsamo. L'Union soviétique oblige la Finlande à entrer en guerre contre les Allemands.

L'Union soviétique lance une grande offensive dans le nord et les Allemands battent rapidement en retraite. Les projets de construction d'Hitler conduisent les prisonniers de guerre à la mort et au cannibalisme. La Seconde Guerre mondiale se termine par une dévastation totale de l'Arctique.

En mai 2022, le photographe Nick Út arrive à Milan où il expose ses photos. Il transporte avec lui la photo qui l'a rendu célèbre quand il était très jeune et lui a valu le prix Pulitzer en 1973 : la célèbre « Napalm Girl ». C'est une photo du 8 juin 1972 : elle représente une petite fille qui hurle, nue et les bras tendus, fuyant un bombardement au napalm pendant la guerre du Vietnam.
Cinquante ans se sont écoulés depuis ce jour et Kim Phúc, la petite fille sur la photo, est passée du statut de victime innocente à celui de militante luttant pour la paix.
Elle aussi est venue à Milan avec Nick. Ensemble, ils se rendent à Rome pour rencontrer le pape François et lui remettre leur photo dédicacée.

Les familles royales nous fascinent depuis des siècles. Nous cherchons à savoir ce qui se passe réellement derrière les murs de leurs châteaux, peut-être pour nous convaincre qu’ils sont comme nous, après tout.
Les romances, les disputes, les scandales, les faux pas, les abdications et les maladies ont été relayés avec voracité par les médias du monde entier. A croire que nous ne pouvons pas vivre sans eux et qu’ils ne peuvent probablement pas vivre sans nous…
Dans cet épisode, nous examinons les grands évènements royaux. Des mariages de rêve aux gros titres des tabloïds sur les divorces, nous étudierons la façon dont ces histoires ont été rapportées ainsi que l'impact qu'elles ont eu sur la société. Nous essayerons de comprendre le rôle des médias dans cette relation si spéciale entre la royauté et le public et pourquoi nous sommes tant touchés et fascinés par leurs vies.

Notre accès à l'information n'a cessé de s'étendre et d'évoluer au cours du siècle dernier et les reportages de guerre en sont la preuve. Cela a commencé avec des articles sur la Première Guerre mondiale dans les journaux. Puis, pendant la Seconde Guerre mondiale, la population s’informait régulièrement des actualités et consommait chaque détail possible à la radio.
Dans les années 1960, la télévision a donné une visibilité sans précédent à la brutalité du conflit au Vietnam. Pendant la guerre du Golfe, le monde a regardé les bombardiers attaquer Bagdad. Les guerres sont maintenant des événements télévisés à part entière, avec la diffusion de reportages en temps réel montrant des témoignages en direct de journalistes portant des casques et des gilets pare-balles.
Dans cet épisode, nous explorons l’évolution des reportages de guerre et l'impact des médias sur les conflits.

Depuis 2003, date à laquelle le vice-président américain Al Gore a lancé la thématique du réchauffement, nombreux sont les climato-sceptiques qui pensent qu’il s’agit d’un complot et que le climat ne se réchauffe aucunement.

Dans cet épisode de C'est un Complot ! Christophe Bourseiller revient sur une théorie qui n'en finit pas de susciter des scénarios complotistes : l'assassinat du président américain John Fitzgerald Kennedy à Dallas le 22 novembre 1963. Mais par-delà les délires des uns et des autres, incriminant tantôt la CIA, tantôt les Russes, tantôt la mafia, ou encore le milieu corse, le complot est-il réel ?

Le 30 janvier 1889, Rodolphe de Habsbourg, le fils de Sissi, héritier du trône d’Autriche-Hongrie, est retrouvé mort dans une chambre du pavillon de chasse de Mayerling. A ses côtés, gît sa jeune maîtresse de 17 ans, Marie Vetsera. Que s’est-il passé dans le huis clos enneigé de Mayerling en cette matinée d’hiver 1889 ?

Raspoutine est un des personnages les plus énigmatiques de l'Histoire contemporaine. De sa personnalité mystique à son intimité troublante avec le dernier tsar d'un Empire Russe malade, tout chez lui intrigue et fascine. Déjà de son vivant, il déchaînait les passions et finit assassiné dans des conditions mystérieuses le 16 décembre 1916. Pourquoi a-t-on assassiné Raspoutine ? Pour quelles raisons ce moujik venu de nulle part suscita-t-il une telle haine chez ses contemporains, avant de devenir une légende ?

En 1880 est fondé au Caire, l’Institut Français d’Archéologie Orientale. 130 ans plus tard, il produit toujours de grands archéologues et des fouilles riches en découvertes. Ce film leur est consacré.
Pour la première fois, l’IFAO ouvre ses portes et nous invite à découvrir certains de ses plus beaux chantiers archéologiques … C’est ainsi que nous allons faire la connaissance de Vassil Dobrev, Michel Wuttman, Béatrix Midant-Reynes et Stéphane Pradines, quatre archéologues français à la tête de quatre fouilles étonnantes.
Vassil Dobrev nous accueille au cœur de la nécropole de Saqqarah, à 30 km au sud du Caire. Depuis dix ans, il fouille un ensemble de tombes appartenant à des prêtres de l’Ancien Empire : leurs chapelles funéraires sont de véritables œuvres d’art.
Michel Wuttmann dirige un chantier de fouille à 800km au sud du Caire, vers l’oasis de Douch, et nous montre des petites merveilles, sans doute des objets offerts au temple par des fidèles.
Nous suivons également l’équipe de Béatrix Midant-Reynes, sur les traces des premiers égyptiens qui vécurent dans les sables du désert occidental il y a plus de cinq millénaires. Bien avant la naissance de l’Egypte pharaonique et l’invention des hiéroglyphes, ces populations nomades avaient atteint un degré de sophistication qui préfigurait le raffinement de la civilisation égyptienne.
Enfin, l’archéologue français Stéphane Pradines met au jour la grande muraille que le chef militaire Saladin fit construire pour protéger des armées croisées sa nouvelle capitale, le Caire. Un édifice de pierre de 12 km de long. Ce projet s’inscrit dans le cadre de la restauration d’un quartier de la ville ancienne. Stéphane nous fait découvrir des trésors d’architecture – palais, mosquées, mausolées - qui étaient il y a quelques années seulement dans un état de ruine. Aujourd’hui, ils figurent parmi les fleurons de l’architecture islamique de la ville ancienne.

Alors qu'ils viennent de frôler la catastrophe, les constructeurs savent que ce navire viking devra être plus robuste s'ils espèrent un jour tenter un voyage transatlantique. La remise en état va prendre une année entière et les constructeurs devront puiser dans les sources et les sagas nordiques pour trouver des réponses. Ils consulteront les meilleurs experts de toute la Scandinavie pour trouver le bon équilibre entre vitesse et sécurité. Mais malgré tous les problèmes que pose la rénovation, il y a une lueur d'espoir : le "Draken" a fait la une des journaux et plus de 4 000 personnes se sont portées volontaires pour faire partie de l'équipage transatlantique.

Après quatre années de conception, de construction et de remise en état, le navire viking "Draken" navigue en haute mer. Le continent européen étant désormais derrière eux, le capitaine et l'équipage commencent à se sentir soulagés. Mais pas pour longtemps. Au large des îles Féroé, ils rencontrent les vents et les tempêtes les plus violents qu'ils aient jamais connus. Les combinaisons de survie enfilées et le souvenir du mât qui s'est brisé dans leur tête, l'équipage doit faire face à la réalité de leur situation : traverser l'Atlantique à bord d'un navire ouvert et non couvert ne sera pas chose facile.

En 1995, Nelson Mandela fait un énorme pari : lors de la Coupe du Monde de rugby, il s’emploie à réconcilier un pays fracturé et largement traumatisé par l’apartheid en l’unissant autour de l'équipe de rugby des Springbok. L'emblème des Springbok était auparavant considéré comme un symbole du régime de l'apartheid mais lorsque le capitaine de l’équipe, François Pienaar, leva la coupe au-dessus de sa tête en signe de victoire, cet acte inspira et déclencha l’union d’une génération entière de Sud-africains. Aujourd’hui, l'équipe actuelle des Springbok est représentative de la «nation arc-en-ciel » (Rainbow Nation) rêvée par Mandela.

Nous sommes en Allemagne en avril 1945, à quelques semaines de la fin de la guerre en Europe. Sur le front ouest, l'avancée des troupes Alliées s'accompagne de la découverte et de la libération de très nombreux camps de prisonniers de guerre, de camps de travail et de camps de concentration. Les Soviétiques ont déjà découvert, en Pologne, les camps d'extermination de Majdanek en juillet 1944 et d'Auschwitz en janvier 1945. Mais ces événements ont eu peu de retentissement dans les pays alliés. Ce n'est qu'à partir de l'ouverture par les Américains des camps comme Ohrdruf, Buchenwald et Dachau, en Allemagne, que le monde va découvrir l'ampleur de l'horreur nazie. Et l'image va jouer un rôle majeur. En l'espace de quelques semaines, quantité de photographies et de films sont réalisés dans les camps. Pourquoi ? Dans quel but ? Et quelle réalité ces images ont-elles donné à voir ?

Le dimanche 2 septembre 1945, à 9 heures précises, les représentants de l'empereur du Japon, de son gouvernement et de l'armée nippone signent l'acte de capitulation. La cérémonie a lieu a bord du cuirassé Missouri et fait l'objet d'une mise en scène précise, voulue par le général MacArthur. Mais alors que tout semble se dérouler parfaitement, un imprévu risque de tout compromettre. Les images tournées par les nombreux reporters présents permettent de reconstituer, minute par minute, cet événement historique.

Depuis des siècles, les vikings n’ont eu de cesse d’aiguiser la curiosité des historiens. Une fascination qui n’a pas tardé à gagner le grand public. Pourtant, des poncifs entretiennent souvent une vision biaisée des vikings : des hommes hirsutes aux pectoraux saillants ne jurant que par la guerre. Mais ces hommes et ces femmes étaient-ils vraiment ces barbares décrits par les chroniqueurs du Moyen Âge ? Les guerres et les conquêtes de territoires nourrissaient-elles leur quotidien ? Spécialisé dans la vulgarisation de l’Histoire sur sa chaine YouTube, Benjamin Brillaud, alias Nota Bene, est un passionné des vikings. Tel un éclaireur, allant à l'encontre des idées reçues, il nous invite dans ce documentaire à explorer l'histoire de ces commerçants et pillards scandinaves, au cours d’une période s’étendant du VIIIème au XIème siècle, en s’intéressant aux découvertes les plus récentes. Du Danemark à l’Islande en passant par la France, Benjamin Brillaud rencontre experts, historiens, biologistes et archéologues, pénètre les bibliothèques et les musées, traverse des paysages spectaculaires où demeurent encore les traces de leur passage. Pour proposer une vision moderne de ces mystérieux médiévaux. Et surtout, pour mieux comprendre ceux qu'on appelle : vikings.

L’extraordinaire aventure de la Normandie doit son origine et son nom à des Vikings. Elle commence il y a 1200 ans lorsque Rollon, exilé de Scandinavie et à la tête d’une armée de pirates, s’engouffrent sur la Seine à bord de drakkars à la recherche de terres à piller. Les Vikings lancent de nombreux raids meurtriers, saccagent les villes qu’ils traversent, assiègent Paris et Chartres. Incapables de les chasser, le roi des Francs négocie avec Rollon un Traité de paix : le chef Viking cesse ses raids en échange d’un territoire qui deviendra la Normandie : le pays des Hommes du Nord.

À travers des histoires humaines poignantes et à l’aide de méthodes scientifiques d’avant-garde, des experts racontent l'histoire de la peste, jour après jour, semaine après semaine et mois après mois. Dans cet épisode, Xand nous guide à travers l'épidémie jour après jour en suivant la maladie telle qu'elle s'est propagée dans les bidonvilles de Londres au printemps 1665. Raksha se dirige vers les laboratoires top-secrets de Porton Down où elle voit la bactérie mortelle responsable de la grande peste. Avec l'aide d'un maquilleur, John révèle les symptômes de la peste bubonique et apprend que la maladie tire son nom des bosses enflées ou "bubons" qui en étaient l'indicateur le plus évident.

Dans ce deuxième épisode, Xand se rend à l'hôpital de St Barth où il découvre des documents montrant que, alors que de nombreux médecins ont fui l'épidémie, le personnel infirmier est resté sur place, risquant sa vie pour aider les malades. Raksha découvre toute l'histoire de la tenue de "médecin de la peste". De son côté John s'intéresse aux taux d'infection étaient si différents entre les riches et les pauvres, s'habillant avec des vêtements typiques de chaque classe sociale au 17ème siècle.

Dans ce dernier épisode, Xand visite l'église de Samuel Pepys et fouille dans les archives, découvrant la triste histoire de la famille Poole qui a perdu ses 5 enfants. Raksha teste des méthodes de désinfection du XVIIe siècle. Mais alors que ces actions avaient alors été couronnées de succès, John découvre qu'on ne peut pas en dire autant des traitements médicaux de l'époque.

Bettany Hughes revit le jour d'ouverture du Colisée de Rome en 80 après J.-C., le premier jour des jeux inauguraux organisés par l'empereur Titus. Alors que l'empire est à l'apogée de sa puissance, on célèbre l'achèvement de cette arène gigantesque et somptueuse. C'est un nouveau point de repère géant pour la plus grande ville du monde, où le peuple peut se délecter des spectacles sanguinaires pour lesquels il est si célèbre.
Il s'agissait d'une nouvelle ruse pour conquérir le peuple de Rome - Titus comptait sur sa journée d'ouverture spectaculaire pour gagner la plèbe et s'assurer une place sur le trône impérial.
Le Colisée, imaginé par l'empereur Vespasien, père de Titus, a été construit sur l'ancien lac de navigation de la Domus Aurea, ou Maison d'or, de Néron - un signe non moins subtil que la complaisance de Néron avait été remplacée par une nouvelle dynastie qui plaçait le peuple au premier plan. Mais Vespasien mourut avant que le Colisée ne soit achevé, et le début du règne de son fils Titus fut secoué par de mauvais présages - rendant le succès de son inauguration plus important que jamais.
Ce fut l'une des journées de jeux les plus extravagantes de l'histoire de Rome, avec des effusions de sang à une échelle épique - des bêtes exotiques amenées de pays lointains pour être massacrées, des criminels exécutés dans d'horribles actes de théâtre à la sauvette, et la plus grande attraction de toutes, les combats de gladiateurs. Le combat qui opposait ce jour-là deux champions, Verus et Priscus. Mais pourquoi les Romains - cultivés et civilisés à bien des égards - aimaient-ils voir autant de sang ? Bettany aborde cette question de front, voyageant à travers le monde romain pour découvrir comment la violence ritualisée des jeux jouait un rôle crucial dans l'affirmation des Romains de leur identité et de leurs réalisations.
Le Colisée nous donne un aperçu fascinant de la psyché romaine, si différente de la nôtre. Pour eux, la mort n'était pas une chose à craindre mais à affronter - et à affronter avec courage. Et les Romains de toutes les classes sociales étaient unis dans la célébration de la "virtus" - la conviction qu'ils étaient meilleurs, plus forts et plus puissants que n'importe quelle nation sur Terre. Le Colisée reste un extraordinaire témoignage de la portée et de l'ambition de Rome et de sa soif de sang et de gloire.

Pour le dernier épisode de la série, Bettany Hughes se penche sur le jour qui a marqué la rupture symbolique de Rome avec son passé païen millénaire - le jour où, en 337, l'empereur Constantin le Grand a été baptisé chrétien. Ce fut un moment d'une importance capitale, non seulement pour l'empire, mais aussi pour l'histoire du monde et de l'une de ses principales religions : le message du Christ était révolutionnaire, et il disposait désormais de l'immense force de l'Empire romain pour le diffuser dans le monde entier.
Constantin a été l'un des derniers grands empereurs romains à régner sur un empire uni, et lui a donné une nouvelle capitale impériale - Constantinople, aujourd'hui connue sous le nom d'Istanbul - une ville qui éclipserait un jour Rome comme la plus grande ville du monde. Bettany se rend à la fois dans l'ancienne et dans la "nouvelle Rome", comme on appelait Constantinople, pour explorer la vie complexe et contradictoire de ce brillant empereur, né fils illégitime, qui a accédé au pouvoir après plus d'un siècle de déclin romain constant. Son triomphe sur un empereur romain rival à la bataille du pont Milvius a été attribué à une intervention divine, mais Bettany y voit une histoire plus humaine de politique de pouvoir et de manipulation. À Rome, elle visite une relique unique et étonnante de cette époque turbulente : l'insigne impérial du rival vaincu de Constantin, Maxence.
Bettany présente les preuves d'une famille impériale très unie, déchirée par une tragédie secrète, et d'un empereur dont l'idée du christianisme semblerait complètement étrangère aux croyants d'aujourd'hui. Bettany montre comment nombre de ces plus grands monuments combinent l'imagerie chrétienne et païenne - reflétant presque certainement la propre vision religieuse de l'empereur. Elle explore également les traces récemment découvertes du palais original de Constantin dans sa nouvelle capitale, dont l'entrée est désormais cachée sous les boutiques et les cafés de l'Istanbul moderne.
Constantin a donné à l'Empire romain une nouvelle religion, une nouvelle capitale et une nouvelle vie. L'Empire romain chrétien a perduré pendant près de mille ans après la chute de Rome elle-même aux mains des barbares, et n'a finalement disparu qu'avec la conquête de Constantinople par les Turcs ottomans en 1453. Selon Bettany, il s'agit là d'un chapitre trop souvent négligé de la grande histoire de l'empire romain.
Mais même avec la chute de Constantinople, les idées que Constantin a embrassé et apporté à l'Empire romain ne sont pas tombées avec elle. Les réformes sociales inspirées par un nouveau message religieux révolutionnaire font encore partie de notre expérience aujourd'hui.

Après l'attaque de Pearl Harbor, les armées japonaises célèbrent leur victoire. Mais leur confiance est ébranlée quatre mois plus tard lors de la bataille de la mer de Corail. En Europe, l'attaque allemande contre l'Union soviétique se heurte à de lourdes pertes et la survie de la Grande-Bretagne est menacée par les sous-marins allemands avec la bataille de l'Atlantique.

Début 1942, la guerre se déroule sur des champs de bataille en Europe de l'Est, en Afrique du Nord et en Asie-Pacifique. La bataille de Midway, une bataille aux conséquences irréversibles, est une victoire pour les États-Unis. D'innombrables Juifs, Roms et autres minorités entament leur voyage vers les camps de concentration.

De la frontière indienne en Birmanie à la Chine, en guerre contre le Japon depuis 1937, la guerre devient de plus en plus féroce. En Europe, bien que disposant de moins de ressources que lors de sa première tentative, Hitler renouvelle son assaut contre l'Union soviétique. Lorsque l'Armée rouge s'effondre dans le sud, Hitler divise ses forces et envoie son plus grand groupe d'armées à Stalingrad.

Face à la puissance de l'armée soviétique qui repousse les forces allemandes sur les terres qu'elles occupaient, et face à la dévastation des villes allemandes par les bombardiers alliés, Goebbels lance un appel à la "guerre totale". Au cours de la conférence de Casablanca, le président Roosevelt insiste sur une reddition inconditionnelle. En Asie-Pacifique, les bombardiers américains commencent à détruire les îles japonaises.