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En avril 1897, le cinéma est à peine né qu'un cameraman, Charles Moisson, est déjà invité à suivre le président Félix Faure en voyage dans l'Ouest de la France.

Comment l'Allemagne a-t-elle pu être séduite par les idées d'Hitler ? Comment l'espoir d'une vie meilleure partagée par toute une nation a-t-elle pu conduire à une volonté d'extermination ? Hitler et l'Allemagne : une attraction fatale est un documentaire en trois parties qui relate la naissance, l'avènement puis la disparition du régime nazi.
Dans le premier épisode, nous sommes au tournant du XXème siècle. L'état de l'Europe, instable, donne les conditions idéales pour la formation du plus terrifiant parti politique de l'Histoire. Qu'en est-il d'Adolf Hitler, Heinrich Himmler, Herman Goring, de Josef Goebbels et Rudolf Hess alors que sévit la Première Guerre mondiale ?

En 1927, l'Allemagne connaît une reprise économique après la dépression et la guerre. Mais une crise profonde et imprévue de l'économie mondiale bouleverse cet équilibre précaire. Le parti nazi en profite pour émerger. Dirigé par des individus jeunes, déterminés et énergiques, il apparaît comme le seul parti capable de redresser l'Allemagne et devient véritablement le parti d'Hitler dans les années 30. Ce dernier multiplie les discours valorisant " la communauté" du peuple ". En juillet 1932, le parti nazi forme le 1er groupe au Reichstag avec le soutien d'une grande partie de la classe moyenne allemande. Hindenburg invite Hitler à rejoindre un gouvernement de coalition en devenant chancelier du Reich en janvier 1933. Dès lors, Hitler remilitarise l'Allemagne à un rythme sans précédent et consolide sa réputation en conquérant l'Europe de l'Est pour puiser dans ses richesses.

Malgré la signature du traité de Munich en septembre 1938, Hitler prend le contrôle total de la Tchécoslovaquie le 16 mars 1939. Les grandes victoires de politique étrangère des nazis rétablissent la fierté nationale allemande. En août 1939, l'Allemagne nazie et l'URSS deviennent des alliés avec la signature du pacte germano-soviétique. Dès lors, Hitler a le champ libre pour s'en prendre à la Pologne le 1er septembre 1939. Pour les Britanniques et leurs alliés, cette attaque est la provocation de trop. C'est le début de la Seconde Guerre mondiale. A l'hiver 1939, l'Allemagne accumule les conquêtes avec la Blitzkrieg dans l'Ouest de l'Europe...

Au début de la Seconde Guerre mondiale, scientifiques, politiques et services secrets s’engagent dans une bataille afin de récupérer l’eau lourde, élément essentiel à la fabrication de la première bombe nucléaire de l’histoire. C’est un des épisodes les plus secrets du conflit. Mais le IIIe Reich n’aura pas la bombe car résistants norvégiens, savants français et chercheurs américains se mobiliseront pour l’en empêcher.

De toutes les familles qui furent déportées dans les camps d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, seule la famille Ovitz en réchappa sans avoir perdu un des siens. Les Ovitz étaient juifs, originaires de Transylvanie, en Roumanie. Sept d’entre eux, frères et soeurs, souffraient d’une forme spécifique de nanisme. Ils formaient la plus importante famille de lilliputiens d’Europe. Et c’est à ce titre qu’ils devinrent à Auschwitz les cobayes favoris du docteur Josef Mengele. Par la grâce du diable raconte l’histoire de leur destin, ou plus exactement, applique à ce destin la question du comment vivre, survivre et revivre ? 

Bâtie, selon la légende, il y a 2 500 ans au sommet de la capitale birmane Rangoon, la Pagode de Shwedagon protège encore aujourd'hui la ville de son aura. Ce stupa qui renfermerait huit cheveux du Buddha, est le lieu sacré le plus emblématique du pays. Son architecture, faite de ronds et de carrés représentant respectivement le ciel et la terre dans la cosmologie bouddhiste, témoigne de la sacralité du lieu. Recouverte de 20 000 plaques d'or, ornée de pierres précieuses, la Pagode est un environnement vivant. Sans cesse agrandi et restauré, le stupa vit des ouvriers et bénévoles qui travaillent quotidiennement sur le site. Par leur dévouement, tous espèrent obtenir un meilleur karma lors de leur future réincarnation.

Sur la gigantesque place du Meydan à Ispahan, des enfants jouent entre les bassins et les jardins, des groupes de femmes voilées déambulent… L'atmosphère est paisible et harmonieuse. Tout autour, un bazar avec de nombreuses boutiques et ateliers en tous genres s'animent dès le petit matin. Parmi les grands monuments de la place, la mosquée Royale ou Grande mosquée Shah Abbas attire tous les regards. Elle se distingue par une élévation monumentale, toute tendue vers le ciel.
Construite en 1637 sous l'impulsion du souverain qui lui a donné son nom, la grande mosquée du Shah Abbas symbolise la Renaissance Musulmane. Elle participe au XVIIème siècle à faire d'Ispahan un centre d'enseignement philosophique, scientifique et religieux en plus d'un carrefour commercial.

La Mosquée de Jama Masjid a été construite entre 1650 et 1656 dans le cadre du grand projet de l'empereur moghol Shahjahan d'établir une nouvelle capitale à Delhi, Shajahanabad. C'est une grande mosquée à ciel ouvert, en grès et en marbre, la plus grande de l'Empire Moghol, d'une superficie de 4200 m2. Depuis sa construction, c'est la même famille qui gère la mosquée ainsi que les imams qui y prêchent. Ce film propose une découverte de ce monument emblématique de Old Delhi où des milliers de fidèles et de visiteurs viennent prier, se recueillir, se promener du lever au coucher du soleil.

La ville de Jérusalem est un lieu sacré dont la force symbolique est sans égal dans le monde. Dans la minuscule enceinte de la vielle ville se trouve des monuments de la plus haute importance pour chacun des trois monothéismes : le Saint-Sépulcre pour les chrétiens, le Mur des Lamentations pour les juifs et le Dôme du Rocher pour les musulmans. Ce film propose une exploration de ces trois monuments sacrés, de leurs liens, et des hommes qui les protègent et les font vivre au jour le jour.

John Christie a apporté la mort à tout le monde autour de lui. Il a réussi à faire porter ses terribles crimes sur un autre homme qui sera condamné à mort. Il a échappé à la capture pendant des années.

John Christie a apporté la mort à tout le monde autour de lui. Il a réussi à faire porter ses terribles crimes sur un autre homme qui serait condamné à mort. Il a échappé à la capture pendant des années.

Le mur provisoire est érigé, divisant la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest et transformant ainsi la Charité en territoire frontalier immédiat. Le personnel de l’hôpital réagit de différentes manières. Le secrétaire du parti, Lehmann, veut que les médecins de la Charité signent une déclaration écrite de croyance en la construction du Mur. Le Dr Curt Bruncken, qui a été gravement blessé lors d'une chute, est amené en urgence au service de médecine interne auprès du Dr Ella Wendt.

Le corps de la première personne tuée sur le Mur flotte dans le port de Humboldthafen. Ella est terrifiée à l'idée qu'il puisse s'agir de Curt. Prokop autopsie le mort. L'examen se déroule dans le plus grand secret et le rapport d'autopsie est immédiatement emporté par les enquêteurs. Mais le professeur Prokop se refuse à accepter cela et dicte, mot pour mot, les résultats de son examen à sa fidèle collègue Mme Dammrau avant d’enfermer ce duplicata dans son coffre-fort privé.

Pendant ses 16 mois d’existence légale, le premier syndicat libre du monde communiste, Solidarnosc, a été un véritable séisme mondial réunissant dix millions de Polonais, ouvriers, paysans, intellectuels et porté par le futur prix Nobel de la paix, Lech Walesa. Véritable contre-pouvoir redouté par le Kremlin, Solidarnosc a mis à jour les faiblesses idéologiques, politiques, économiques et même militaires du bloc de l’Est. La menace d’une invasion soviétique en Pologne ayant été, à plusieurs reprises, imminente.
Dissous en 1981, après la proclamation de la loi martiale, le syndicat a continué d’œuvrer dans la clandestinité avec l’appui du pape Jean-Paul II, de la CIA et de la Maison Blanche. L’exemple d’une société civile, sans peur et pacifique, fera tâche d’huile dans le bloc de l’Est où les régimes tomberont les uns après les autres.

Dans les années 1970-1980, plus de 25 000 ouvriers est-allemands quittent leur patrie pour aller construire en Union soviétique un gigantesque gazoduc qui deviendra le plus grand du monde. Cette expérience généreusement rémunérée leur donne une impression de liberté bien qu'ils doivent y braver des conditions difficiles, entre la solitude et la surveillance politique.
À travers les témoignages d'anciens travailleurs et des images d'archives inédites, ce documentaire relate cette expérience au jour le jour et met en lumière les enjeux politiques et internationaux dans lesquels elle s'inscrit. En effet, le projet donne lieu, en pleine guerre froide, au plus grand accord commercial Est-Ouest de l'après-guerre.

En 1940 naît à Paris la Continental, une société de production de films créée par l'occupant et gérée par l'ambitieux Alfred Greven. Jusqu'en 1944, celui-ci va s'assurer les services des meilleurs artistes et techniciens du cinéma français, tout en profitant de la spoliation des biens juifs pour racheter cinémas, studios et laboratoires. Plusieurs des 30 longs-métrages produits sous l'égide Continental comptent, encore aujourd'hui, parmi les classiques du cinéma français.

83 ans se sont écoulés depuis que le régime nazi a interdit définitivement l'art dit "dégénéré". Au nom de l'art pur aryen, le régime nazi organisa deux expositions à Munich en 1937 : l'une pour stigmatiser "l'art dégénéré" interdit, et l'autre, organisée personnellement par Hitler, pour glorifier "l'art classique". Sous les ordres d'Hitler et de Goering pour leur projet fou du Louvre de Linz, commença alors le grand pillage des chefs-d’œuvre de l’art.

Commenté par l’acteur Toni Servillo, Hitler versus Picasso et les autres est un documentaire fascinant mettant en lumière des chefs-d’œuvre de Picasso, Botticelli, Klee, Matisse, Monet ou Renoir. Bon nombre des histoires racontées s'inspirent de quatre grandes expositions qui, 83 ans plus tard, résument la situation de ce qu'il est advenu des trésors volés par les nazis et de nombreuses personnes impliquées à l'époque...

La Seconde Guerre mondiale débute par une tromperie dans une station de radio polonaise. Pendant les premières années de la guerre, le bluff en est à ses débuts : décryptage de codes, espions glamours, faux sites de bombardement et même chars d'assaut gonflables.

Les Américains progressent vers Coutances. La ville est détruite à 60 %. En pénétrant dans les ruines, plusieurs équipages américains se font piéger par des mines. En fin de journée, Coutances tombe enfin aux mains des Alliés.

Cette série documentaire inédite explore la relation qu’entretient le sport avec divers sujets primordiaux dans notre société : le réchauffement climatique, l’égalité, la géopolitique et la corruption. Dans ce troisième épisode, le sport n'a pas toujours été un milieu égalitaire, mais la possibilité pour tous de participer est aujourd'hui non-négociable.

En 1995, Nelson Mandela fait un énorme pari : lors de la Coupe du Monde de rugby, il s’emploie à réconcilier un pays fracturé et largement traumatisé par l’apartheid en l’unissant autour de l'équipe de rugby des Springbok. L'emblème des Springbok était auparavant considéré comme un symbole du régime de l'apartheid mais lorsque le capitaine de l’équipe, François Pienaar, leva la coupe au-dessus de sa tête en signe de victoire, cet acte inspira et déclencha l’union d’une génération entière de Sud-africains. Aujourd’hui, l'équipe actuelle des Springbok est représentative de la «nation arc-en-ciel » (Rainbow Nation) rêvée par Mandela.

Dans un style inimitable, le journaliste, chroniqueur radio et écrivain Leon Neyfakh revient sur l’un des plus grands scandales politiques des Etats-Unis, l’affaire Iran-Contra.
Dans une tentative désespérée de libérer les otages américains détenus au Liban, le cabinet du président Reagan conclut un accord illégal "armes contre otages" avec un marchand d'armes iranien.

Dans un style inimitable, le journaliste, chroniqueur radio et écrivain Leon Neyfakh revient sur l’un des plus grands scandales politiques des Etats-Unis, l’affaire Iran-Contra.
Deux événements étranges, l'un en Iran et l'autre au Nicaragua, suscitent la frénésie de la presse et du public. Pendant ce temps, en coulisses, l'équipe du président Reagan débat de la meilleure façon de réagir.

Dans un style inimitable, le journaliste, chroniqueur radio et écrivain Leon Neyfakh revient sur l’un des plus grands scandales politiques des Etats-Unis, l’affaire Iran-Contra.
Dans l'épisode final de la saison, alors que le ministère de la Justice lance une enquête sur les accords passés par l'administration Reagan avec l'Iran, un complot est monté pour dissimuler les détails et un homme est choisi pour prendre la place du président... Oliver North.

La guerre qui opposa l´Allemagne nazie à l´Union soviétique a fait des dizaines de millions de morts et a été le théâtre de vols de trésors et d´œuvres d´art d´une incroyable ampleur. En 1941, les troupes nazies envahissent le palais de la tsarine Catherine 1ère et dérobent le contenu de la mythique Chambre d´ambre, un trésor aujourd´hui estimé à 150 millions de dollars et toujours introuvable. Quatre ans plus tard, les armées soviétiques prennent leur revanche en pillant Berlin de milliers d´œuvres d´art qui disparaissent aussitôt derrière le Rideau de Fer. En Russie, Conor bénéficie d´un accès exclusif aux dossiers du détective soviétique chargé par Staline de retrouver la Chambre d´ambre ; pendant ce temps, Robert rencontre un ancien marchand d´art qui prétend connaître des oligarques russes en possession d´œuvres dérobées à Berlin. Dans cet épisode également, James et Robert se rendent à Berlin visiter le bunker dans lequel les musées de la ville ont rassemblé les œuvres d´art à l´issue du conflit et dont le contenu, estimé aujourd´hui à 10 milliards de dollars, a disparu en fumée : incendie accidentel ou volontaire ?

En 1943, Mussolini perd le pouvoir, les Nazis prennent le contrôle de l´Italie et pillent le pays. À Florence, à Rome et en Suisse, Robert Edsel suit la piste des trésors florentins disparus : en 1944, les Nazis dévalisent des douzaines d´entrepôts abritant 700 œuvres d´art. La plupart seront récupérées après la guerre mais il en manque toujours trois, dont l´une est aujourd´hui estimée à cinq millions de dollars. À Rome, Conor explore l´incroyable complexe souterrain du Mont Soracte où les Nazis stockèrent entre 60 et 80 tonnes d´or dérobé aux Italiens. Le gouvernement italien est convaincu que de l´or pourrait encore y être caché. En Toscane et au sud du Tyrol, James remonte la trace du général SS Karl Wolff. En 1945, celui-ci aurait proposé aux États-Unis la reddition de l'Allemagne nazie en échange de son immunité... et de la révélation de l´endroit où les nazis auraient dissimulé des milliers d´œuvres d´art confisquées pendant toute la durée du conflit.

En 1942, la duperie devient extrêmement sophistiquée. Des usines d'armement américaines entières sont déguisées en villes, des agents doubles manipulent l'ennemi, mais l'opération la plus rusée consiste à utiliser un sans-abri décédé pour tromper l'ensemble des dirigeants nazis à propos de l'invasion de la Normandie.